• Chapitre 18:  Les talents musicaux de l'Orchidée
     

      –Eh, tu vas te décider à me répondre, oui? demanda Yuki en se penchant, pour mieux distinguer le visage de son interlocutrice.
      Ran écarquilla ses yeux en étant revenu à elle. Elle recula d'un bond en reconnaissant le visage de Yuki, et rougi pendant un millième de second. Et tout à coup, les phrase qu'elle avait adresser à celui-ci lui revinrent tous.
      "je m'en irai, j'ignore où et pour quel raison, mais je ne resterai une minute de plus dans cette résidence silencieuse et étouffante!"qu'elle disait, quand Yuki lui avait demander ce qu'elle ferait si elle était réellement la sœur de Rei.
      Et maintenant elle se prenait pour une riche héritière, vu qu'elle habitait sous le même toit que son soi-disant frère.
      Reculant en titubant, Ran s'arrêta et s'inclina pour s'excuser envers Yuki.
      –Excuse-moi, je...suis navrée...
      Yuki ne répondit pas, Ran s'enfuit vers l'hôtel, laissant le jeune homme planter sur place, ébahi. Rei, qui venait derrière Yuki, remarqua que Ran s'en aller.
      –Qu'est-ce qui se passe? demanda-t-il.
      Yuki ne répondit pas et regardait droit devant lui, Rei souleva un sourcil et poursuivit Ran, sans demander son reste.

      * Ran n'était plus qu'à dix mètres de l'hôtel, Rei le rattrapa par le bras. Ran devina que cela n'était autre que Rei, et ne prit donc pas la peine de se retourner et le regarder. Au lieu de ça, elle se débattait. Rei, qui tenait fermement le bras de Ran, fut surprit par le brusque changement de sa soeur. Il demanda:  –Ran, j'ai fais quelque chose qu'il ne fallait pas? Pourquoi est-ce que tu te comporte ainsi?  Ne prenant pas la peine de se tourner, Ran se mordait les lèvres, à la recherche d'une excuse. Qu'importe le quel, elle devait trouvait un truc.  –Heuuu.... ...Haru... je veux revoir Haru, dit-elle en cessant de se débattre.  –H-hein?  –Je veux revoir mon frère! ...Enfin adoptif. Tu veux bien m'accorder cette faveur, demanda Ran avec une voix presque suppliante.  Évitant le regard de sa sœur, Rei regarda à sa droite, en réfléchissant à la réponse qu'il allait donner à sa sœur.  –Non.  –Q-quoi? Et pourquoi donc? s'empressa Ran de questionner.  –Parce que...tu vas peut-être...retourner la-bas....  "Hein? Mais je fais ce que je veux, non?" pensa Ran.  –Mais...n-non, je veux juste le revoir, j'ai l'impression d'être en manque de familiarité, là, se justifia Ran.

      –Et moi, alors? Je suis bien ton frère, non?
      –Heu.... ....o-... Non.
      –Pardon? C'est bien la première fois que tu me l'a fais, celle-là.
      –Pas du tous, c'est toi qui m'avais obligé à l'être, j'ai toujours été contre....et puis j'ai le droit de voir qui je veux, non? Ce n'est pas toi qui vas décider à ma place.

    *   Quelque minute plus tôt, Rei avait finit par rattrapper Yuki, celui-ci faisait tous pour l'éviter.  –Eh, réponds-moi, qu'as-tu voulu dire?  –Quand ça?  –A l'instant, tu m'avais féliciter, si je me trompe?  –Tu te trompes.  –Ne joue pas à ça avec moi.  –Je ne joue pas.   Rei s'arrêta, cela ne servait à rien de continuer ainsi, Yuki ne faisait que répondre en tac au tac, sans être sérieux. Si Rei poursuivait la conversation ainsi, il ne ferait que perdre de la salive et ne rien gagner. Prenant sa respiration, Rei se décida:   –Qu'avez-vous fait pendant trois heures, dans cette profonde forêt?  –Que voulais-tu qu'on fasse?  –Tu l'as touché?  –Oui.  –Et tu me réponds sans gêne?  –Mais c'est la vérité, et je ne peux la nier.  –...Où l'as-tu touché?  –Cela ne te regarde pas.  –Bien sur que si, je suis son frère, se justifia Rei.  –Justement, tu es son frère, mais pas sa mère.  –Bon, ça suffit, cesse ton jeu et réponds honnêtement, ordonna Rei.  –C'est ce que je fais.  –Très bien, alors dis-moi ce qu'elle t'as dit.  –Je ne peux pas.  –Et pourquoi donc?  –Tous simplement parce que c'était une conversation privée.  Rei ne répondit pas, Yuki avait commencé à tourner les talons, alors qu'il fit le premier pas, il s'arrêta pour se tourner vers son ancien interlocuteur.  –Et puis, tu ferais mieux de cesser de jouer le grand frère attentionné.(Rei s'apprêter à réagir) Je sais que c'est la vérité, mais tu vois bien, que cela lui déplait... d'ailleurs, elle s'en veut d'être si bien accueillit pour une fille tous ce qu'il y a de plus normal. Bien sur, c'est surement ce qu'elle croit, elle, mais penses-tu sincèrement pouvoir l'a faire changer d'avis?   Les deux jeunes hommes se turent. Yuki s'en alla, Rei réfléchit à ce que venait de dire Yuki, il n'avait pas tort, mais Rei persévérait à vouloir faire de Ran une vrai lady et de sa sœur.... sa seule et unique sœur.*  Rei avait finit par lâcher Ran, celle-ci disparu dans l'hotel, laissant Rei seul à réfléchir. Les paroles de Yuki ne cessaient de résonnaient dans  sa tête, il avait raison, il ne pouvait plus continuer ainsi en forçant  Ran à reconnaitre que c'est sa sœur, mais que pouvait-il faire d'autre?  Il voulait être avec sa sœur, tellement l'avait-il manquait qu'il avait décidé de la rechercher tout seul... Jamais n'avait-il autant désirait quelque chose, des fois il se demandait lui-même s'il n'avait pas atteint ses limite sur l'affection qu'il portait à sa sœur.  Inspirant un grand coup, Rei rentra à son tour à l'hôtel et s'avançait vers l'accueille jusqu'à ce qu'un son l'empêcha d'aller plus loin.   Ran courait dans la cage d'escalier. De l'extérieur, on pouvait croire qu'elle faisait du sport, mais en réalité, elle recherchait sa chambre....  Pouvant enfin s'en tirer de l'emprise de Rei, Ran se perdit juste après. Parcourant tous les étages à partir du douzième, Ran repensa à ce qu'on lui avait dit: "Les chambres se trouvait au onzième étage, quand aux votre, ils se trouvaient....", n'ayant pas entendu la suite, car elle fut entrainer par Shin pour la faire promener (dont un peu plus tôt).  Ran pesta contre Shin, tous ceci était de sa faute, s'il l'avait laisser écouter la suite, elle n'en serait pas là à courir à tous les étages.  Puis ayant marre de toujours tourner en rond, Ran s'arrêta aux dixième, ouvrit la porte de secours et se retrouva dans un long et prestigieux couloir inconnu.  Grimaçant, Ran se courba le dos. Marre, pensa-t-elle.  Mais! Vu que c'était dans un couloir aux décor royal, Ran avait déduit qu'il y avait surement des gens (de riche héritier excentrique devait demander aux employeur à ranger leur chambre -enfin d'après elle).  Et pourtant, c'était désert!  Pourquoi? se demanda Ran.  La réponse était évidente. Elle nétait même pas à l'étage des chambres à couché.Se baladant un peu partout, elle découvrit une salle de musique.  Se tapant les mains, Ran avait retrouvé le sourire! La musique, il lui fallait bien ça! Avec un peu de douceur, elle se détendrait certainement!   Entrant dans la pièce, Ran vit un piano au coin de la pièce. Souriant de plus belle, elle s'approcha de celui-ci en sautillant. A ce moment là, elle s'était dit qu'il ne pouvait avoir plus chanceuse qu'elle.  S'asseyant sur le tabouret en cuir, Ran activa le piano et entendit un 'clic' sonore mais ne s'en préoccupa pas, puis effleura chaque touche, elle fermant les paupières et inspira .....pour finir par pianota un morceau.   Yuki, accompagner du reste du groupe (Miya, Myu, Kiyo ainsi que Shin), fut de retour à l'hôtel.Alors qu'il n'avait même pas eut le temps de dire 'ouf', qu'un merveilleuse son lui parvenu à ses tympans, lui ainsi qu'aux groupe.  La première étonnée fut Kiyo, elle faisait partit du personnelle et c'est bien la première fois qu'elle entendait un son musical.  –C'est étrange, d'où peut venir cette mélodie? se demanda Kiyo.  –Ben, dans la salle audio-active, non? répondit Shin avec mépris.  –Mais justement il n'y en a pas! Comment veux-tu que cela provienne de la salle audio machin chose -comme tu le prétends l'appeler- alors qu'il n'existe pas?  –Vraiment? Alors d'où vient cette mélodie, s'il n'y a pas de salle 'audio-active'? s'interrogea Miya, l'air ahuri.  –C'est bien ce que je me demande, souffla Kiyo.  –Tu es sûre, qu'il n'y a pas une salle de musique? Comme une pièce isolée des autres, à porte blinder? questionna Myu.  –Sûr et certaine. S'il y en avait une mes parents me l'auront prévenu...  –A moins, qu'il y en ait vraiment une et que tes parents ne te l'ont pas dit, par peur que tu fasse n'importe quoi, en déduit Yuki avec méprit.  –Ah, oui? Et que veux-tu que j'y fasse? demanda Kiyo en serrant les dents.  –Ben, tu sais très bien ce que je veux dire...toi et ta façon de jouer aux sax-.....  –Oui, bon ne nous éloignons pas du sujet, interrompu Myu d'un air désolé, notre sujet premier était de savoir d'où vient cette berceuse....  –Cette berceuse s'intitule 'Grief of Sorrow', non? hasarda Miya.  –Eh, t'as de l'écoute, toi! s'exclama Shin. Je me disais bien avoir déjà entendu quelque part...  –Oui, bon, ne faites pas comme-ci j'avais rien dit!   Marchant calmement dans la direction d'où venait la mélodie, un jeune homme mystérieux s'arrêta devant la pièce où se trouvait Ran. Sans bruit, ni geste suspect, il s'adossa contre le mur et baissa ses paupières pour mieux entrer dans la berceuse.  Et pendant deux minutes environ, il se laissa emporter par la douce mélodie qu'émettait le piano et que Ran produisait grâce à ses capacité.   Entrant à l'hôtel lentement, Ryû s'arrêta net en voyant le groupe assemblé au milieu du rez-de chaussé -comme pratiquement tous les autres qui se s'était arrêter sur leur trajet, pour mieux profiter le merveilleuse son qui résonnait des haut-parleur.Ryu ne fut pas particulièrement attirer par la mélodie, il le trouvait juste mélancolique, rien de plus. D'ailleurs il ignorait qui est-ce qui était en train de jouer, alors autant tous ignoré que juste être attirer par une simple mélodie. 
       Ran avait terminer son morceau et inspira calmement. Se relevant de son tabouret en cuir, Ran sortit de la salle de musique. Mais en ouvrant la porte, une feuille voltigea sous son nez, le ramassant, Ran put lire une inscription...." Good job my Orchid " Après avoir lu la petite pancarte à l'écriture divine, Ran s'étonna.  "Qui?" murmura-t-elle. ****************************                           Fin du dix-huitième Chapitre

     

    Chapitre 19: L'orchidée au thermal

     

    Dans une pièce tenu à l'écart des autres, le groupe de jeune aristocratres était réuni. De gré ou force, mais apparement le regroupement fut de force, aucun des membres ne parlait, l'ambiance était des plus tendu et pour ne rien arranger ils semblaient tous s'ennuyer.

    Un peu plus loin, se trouvait une autre pièce, moin confortable et moin spacieux. A l'intérieur un jeune homme mystérieux s'y trouvait, à contre-coeur évidement. Assit contre un mur, il tenait dans sa main une machine en train de tourner reliée à des écouteurs. D'un certain point de vu, on aurait comprit ce qu'il trafiquait et que c'était mal. Ecouter à la porte était une infraction (grave ou pas), mais bon passons.

    Ran était assise au bout d'un sofa rouge terne, de l'autre côté se trouvait Myu, mais les deux amie ne semblait pas avoir quelque chose à se dire pour être si éloigner l'un de l'autre. N'appréciant pas ce genre d'atmosphère tendu, Ran essaya de rechecher quelque chose pour tuer l'ennuie en compagnie de ce groupe pas commode. Farfouillant tous les recoins de ses poches de son jean, elle finit par effleurer un bout de papier cartonner. Se surprenant, elle le sorti délicatement et lu les inscriptions. Mais ce ne fut pas si facil...

    Myu vit que son amie semblait être en difficulté avec un simple bout de papier, devint soudain curieuse. Elle s'approcha doucement de Ran et penchait sa tête pour mieux distinguer les caractères inscrit.

    Ran sentit un regard et se tourna légèrement sa tête pour voir Myu penchait sur sa feuille. Elle tendit la feuille pour que la jeune fille puise la lire correctement.

    Myu rougit légèrement, honte de son action, et prit la feuille pour la lire.

      –"Good job my Orchid"...., lu-t-elle d'une voix morne.

    Observant la moindre réaction de son amie, Ran s'attendait a ce que Myu ait une quelconque réponse pour l'aider à comprendre, mais rien. Juste un sourire esquisser par Myu avant de rendre la feuille à propriétaire.

    Mais avant que l'objectif ne sois atteint, on arracha le bout de papier.

      –C'est d'une jolie écriture, ça, remarqua Kiyo.

    Assit sur une chaise en bois verni, Kiyo avait une main qui tenait la feuille et l'autre accoudait sur sa jambe.

      –Alors ça, c'est ce qu'on appelle 'beau calligraphie'..., complimenta une voix masculine.

    Ran et Myu se retournèrent, alors que Kiyo releva sa tête. Les trois virent Shin penchait en avant, la cible étant la feuille cartonné, il était plutôt près de Ran.

      –Comment as-tu eu ce genre de feuille avec ce genre d'inscription?

      –En parlant d'inscription, est-ce que l'un de vous pourriez me renseigner davantage la-dessus, s'il vous plait?

      –.....Quoi? maugréèrent sinchroniquement les trois jeunes lycéens.

      Derechef l'ambiance de la pièce plomba. De son côté, le jeune mystérieux pouffa de rire, mais se retint à la moitié.

      Ryu, assit près d'une fenêtre coullisante, lisait un journal mais fut déranger; Rei assis sur un fauteuil, avait le bras accoudait sur une table mais faillit tomber; Miya lisait un roman gros de trois pages et plus mais perdit la phrase qu'elle était en train de lire; Yuki qui ne cessait de tripoter une de ses machines manqua de l'écraser en confiture; et tous ça était par la bétise dite par Ran. Ce fut actuellement leur seul préoccupation.

      –Si nous étions dans un série animé, tous le monde serait tombé a la renverse, fit remarquer Kiyo.

      Ran comprit la remarque de Kiyo et honteuse elle baissa sa tête.

      –C'est à se demander si elle ne l'a pas fait exprès, se dit Yuki à demi-voix.

      –Dis-moi Ran, on ne t'apprend pas l'anglais dans ton école? demanda Rei, inquiet.

      –Si, ratifia Ran, mais...je ne comprend aucun cours....

      –Tu m'étonne, ironisa Ryu en reprenant sa lecture.

      La remarque de Ryu sonnait vraiment faux aux oreilles de Ran, mais celle-ci ne pouvait contre-dire.

      –C'est fort de ne pas connaitre l'anglais après avoir suivit pendant deux moins, dit Shin avec étonnement.

      –C'est carrément un don, oui! approuva Kiyo.Monolingue de mas deux, ajouta-t-elle entre les dents.

      –Ouais, le don de la stupidité, rajouta Ryu avec un air moqueur.

      Plus Ran entendait, plus elle se faisait ramollir, mais tous ce qu'elle entendait était vrai. Myu ne disait rien pour la rabaisser mais non plus la remonter.

      –Et si non, ou as-tu trouver une feuille avec une écriture pareille, s'exclama Miya pour détendre l'atmosphère.

      –Devant une porte du dixième étage, répondit Ran en reprenant forme.

      –Du dixième? répéta Kiyo. La pièce où...

      –Quelque instrument occupait cette salle, coupa Ran.

      –Oh je vois! s'extasia Shin. C'est donc toi qui jouer du piano un peu plus tôt!

      –Oui, c'est bien moi, affirma Ran.

      Le groupe fut à la foi étonner et émerveiller.

      –Vraiment? C'était une douce et magnifique mélodie, flatta Miya, éblouit.

      –Oui, c'est d'un talent inné, glorifia Yuki.

      –Pour une idiote, railla Ryu.

      Les moquerie  de Ryu ne cessaient d'anéantir Ran mentalement. Et kiyo qui ajoute son grain de sel:

      –Ce que je comprend c'est pourquoi cette berceuse a été diffuser dans tous l'hotel.

      –Ce sont tes instruments et tu ignore tous?

      Les paroles de Yuki sonnait plus par une moquerie que par une question. Kiyo fusilla Yuki du regard.

      –Ben il y'avait surement un micro dans le coin, non? de demanda Shin.

      –Maintenant que tu le dit je me souviens d'avoir entendu un 'clic' sonore mais je n'y ait pas prêter attention, vous croyez qu'il y a un rapport?

      Soudain tous le monde se retourna vers Ran sans dire un mot, et Ran qui était le centre d'attention se posa des questions. Et dans l'autre pièce le jeune homme gloussa à nouveau.

      –Alors là, c'est ahurissant.

      –Appuyer sur un touche sans s'en préoccuper et l'ignorer hardiment, résuma Ryu, même en faisant exprès je n'y arriverai pas, tu es sure de na pas avoir été maltraiter pour avoir des neurones en moinS?

      Un fois sa phrase achever, Ran le repassa en boucle dans sa tête et la partie qui lui a le plus atirer était:" tu es sûre de na pas avoir été maltraitée?"

     Ce mot lui avait presque couper le soufle, l'image du torse cicatriser de Ryu lui revint en tête et plus moyen de l'en ressortir, Ran fut tétaniser.

      Le silence pesant revint régner dans la pièce, plus personne ne reprononça un mot, personne sauf Shin:

      –Bon et si on changer d'endroit avant d'avoir plombait l'air de cet hotel?

      La proposition n'était pas mauvaise, ce fut avec un accord collectif, que le groupe décida de changer de lieu. Mais une fois à la deestination, Ran regretta sa décision d'être en accord avec le groupe.

      Poster devant le Ryokan, la bouche entre-ouverte, Ran était face à quelqu'un dont elle aurait voulu ne pas rencontrer.

    *****************************                                                        Fin du dixneuvième chapitre

     

    Chapitre 20: Rencontre fatal de l'Orchidée  

    Traversant la porte d'entrée, Ran eut un mauvais pressentiment, d'ailleur elle en avait toujours un quand il faut accéder un lieu peu à son gout...
      Marchant lentement et à pas trainant, ses compagnons eurent presque marre.Surtout s'il s'agissait de Ryu.
       -Tu as un problème aux pieds ou ton cerveau n'arrive pas à saisir la signification de marcher comme les autres? demanda-t-il, énerver.
      En temps normal, Ran aurait rétorquer quelque chose comme:"mêles-toi de tes affaires" ou "Cela te pose-t-il un problème?" avec ironie, mais là, elle avait bien autre chose à faire que de s'occuper de monsieur.
      Puis, sous l'étonnement de Ran, une autre voix, féminine, enchaina:
       -A moins que ce soit les deux..., se moqua Shiori Minagawa, une des menbers.
      L'arrivée de cette fille donna Ran une impression d'être encore plus minable, elle ralentit de suite la cadence.
    ***
    Assit sur une chaise, Ran avait une position assez vulgaire pour une fille.Genoux contre sa poitrine, ses bras les entourait pour mieux les maintenir et avait la tête baisser.
    Sans prendre compte que le temps passait, Ran révassait seule dans son coin.Et finalement on l'appela:
     -Ran, tu viens? C'est l'heure de diner, demanda Miya avec douceur.
    Ran releva sa tête et acquiesa.
      Tous deux sortirent de la pièce et accédèrent au long couloir parfumer du Ryokan, arriver devant un long shoji, Miya coulissa la cloison et laissa Ran entrer avant elle, celle-ci se sentit génée et lui proposa d'entrée en première. Miya resta modeste et pria Ran d'entrer en première, mais cete dernière fit de même. Après plusieurs courbette, on finit par les arrêter dans leur modestie.
     -A quoi vous jouer, les deux idiotes?
    Sans même se retourner, Ran reconnu la voix, celle qu'elle détestait le plus, Ryu Kyuji. Celui-ci ne prit pas la peine d'écouter leur réponse, qu'il entra dans la pièce.Suivit de Shiori, celle-ci dit en souriant:
     -Honte à vous.
    S'empourprant les joues, Miya s'excusa ardement.Ran la rassura que ce n'était rien -bien que ce soit le contraire- et entrèrent à leur tour dans la pièce.
      Devant l'étonnement de Ran, la salle était vide, peu décorer, mais très spacieux et une table ronde était poser au centre, avec beaucoup de nourritures dont tous le monde ne pouvait pas se le payer.
     Alors qu'elle s'apprêtait à s'assoir, Ran remarque que Ryu se dirigeait vers le même emplacement qu'elle.Au quart de tour, la jeune fille se redressa et regarda autour d'elle, recherchant une aide illusoir ou réelle.Puis son regard s'arrêta sur un verre remplit de liquide dont elle ignorait le contenu.
    Sans réfléchir, elle le saisit et...le renversa sur le siège qui lui jouxtait.Sous les regards ébahit de Shiori, le shoji coulissa pour laisser entrer le reste du groupe, qui a leur tour restèrent silencieux,pour observant la scène.
     -Oups, dit Ran avec un brin moqueuse, qu'elle maladroite suis-je.
    Avec la surprise meler à l'incompréhension, le groupe resta en retraite de cette histoire qui annonçait rien de bon.
    Ryu, le principal intéressé est maintenant le victime de l'histoire -et Ran, la méchante, mais cela ne fut pas drame pour celui-ci.Il demanda de changer de chaise, un homme postait au coin de la pièce sortit et revena un peu plus tard en compagnie d'un employé accoutrait d'un combinaison bleu marin et d'une casquette qui lui cachait l'ensemble de son visage.L'employé avait dans ses mains une chaise en bois pas très solide a vue d'oeil, il le déposa près de la chaise de Ran, qui la moue, et s'en alla.Ran put dans un laps de temps apercevoir que l'employé avait acqiesait un sourire peu amical, presque sadique, elle friçonna.
      Au final, Ran s'assit -a contre, je précise- à côté de Ryu. Pendant le repas, personne ne prononça mot. Chacun à sa place, plateau/couvert à leur disposition et le diner se passa sans emcombre, du moins c'est ce qu'ils auraient souhaiter...
    Un soudain craquement se fit entendre et l'instant d'après ce fut un bruit sourd qui jaillit dans toute la pièce .
    Tous le monde se tourna vers l'endroit du bruit, c'est-à-dire Ran, mais elle n'avait rien, par contre à côté d'elle il eut comme un blanc, Ryu n'était plus à sa place.Il n'y avait plus rien.
     -Oh mon dieu! s'exclama Shiori, troubler.
     Elle se releva de sa place, qui jouxtait celle de Myu, et sempressa d'accourir vers son prince. Ce dernier était salement amoché, de loin on apercevait rien mais en s'approchant vivement comme Minagawa, on risque pas de rater la sale coupure qui recouvrait le bout du poignée gauche et la paume droite du jeune Kyuji.
     N'ayant pas perçut les blessurs de Ryu, Ran était sur le point de lacher un rire mais se retena et sortit en trombe de la pièce.Seul Shin prit la poursuite de Ran, qui trouvait son comportement suspecte.
     S'étant calmé, Ran prenait l'air dans les couloir si calme du Ryokan.Puis on lui tapota sur l'épaule, la jeune fille se retourna et vit la chevelure verdâtre qui lui était à présent si familier, tellement famillier qu'elle s'en lasser.
      -Dis, pourquoi t'es-tu sauver en courant?
      -Tu veux vraiment le savoir?
      -Oh que oui.
      -Eh bien, je ne te le dirait pas, rajouta Ran en accélérant le pas.
    Ebahi par la réponce de Ran, Shin souria avant de dire:
      -Et pourquoi donc? Parce que tu veux pas me partager ton opignon ou parce que c'est toi qui a fait le coup?
     Ran cessa de marcher et tourna sa tête à quarante cinq degrés pour se défendre.
      -Ce n'est pas moi qui ait fait ça, je n'ai rien à voir dans cette histoire.
     Shin regarda Ran dans les yeux et s'avança vers elle.Arrivé à la même hauteur, tous deux s'apprêter à parler, mais Shin se retint avec le regard figé.Curieuse, Ran se tourna vers l'endroit ou les yeux de Shin étaient posé et vit deux femmes.L'une d'elles remarqua notre présence et leur dit pour première une chose vraiment...vraiment très désagréable....
    "Que fais-tu ici?...le rebut de la famille?..."
    ****************                                             Fin du vingtième chapitre

     

     

    Chapitre 21: Une rencontre explicative de l'orchidée

    Je n'ai pas trés bien saisit ce qui s'est passé jusqu'à tout à l'heure, mais une chose est sûr: cette femme qui se tient devant nous -en compagnie d'une autre- n'est pas juste: dire une tel chose à notre premier rencontre -ou pas- est vraiment ignoble!
    Mais bizzarement Shin semble très perturber... j'ignore ce qui lui arrive, mais je crois bien que cela ait un rapport avec cette dame.
      -Tu ne dit rien? reprit-elle avec toujours autant d'arrogance, même en présence de cette fille qui ne semble pas t'être très proche, rajouta-t-elle avec incertitude.
      Bien sur que non, je ne suis pas plus proche de lui que les F4 mais, c'est tout de même un humain et il n'a pas le droit d'être traité ainsi.Alors je me lança:
      -Excusez-moi de vous interrompre mais qui êtes-vous pour lui l'adresser ainsi?
      La femme posa son regard sur moi, et avec un long moment de silence j'ai commencé à me sentir mal à l'aise.Puis celle-ci sourit narcissiquement.
      -Quel malélevée, elle se croit où cette gamine, à la campagne?
     Après avoir achever sa phrase, j'ai compris qu'elle ne s'adresser pas à moi, mais à sa voisine.Par contre elle n'était pas du tous discrète, à moins qu'elle ait fait exprès...
      Mais je ne pris pas cette remarque aux sérieux, Shin au contraire le prit mal -pour moi?- et rétorqua enfin quelque chose depuis le début de la conversation.
      -Arrête...ne dit pas ça, elle n'a rien à voir dedans...
     Les deux s'arrêtèrent de ricaner et moi, je regardait Shin, ahuri.
      -Tiens donc, tu te manifeste enfin....t'es-tu enfin décider à voir les choses en face?dit-elle avec de sourire que cela m'a presque écoeurer.
      -Mais...c'est ce que je fais depuis le début..., se défendit Shin.
      -...Vraiment? Alors pourquoi continu-tu à mentir? (Shin et moi sourcillons)Pourquoi tu ne lui dit pas ton vrai nom?
     Cette fois-ci j'étais pire qu'ahuri, j'étais abasourdie...son vrai nom? Comment çà? Alors 'Shin ' n'était pas son vrai nom? Mais pourtant c'est ainsi que les autres le nomme...alors ils sont également dans l'ignorance? A moins qu'ils sont complice?
     Alors que j'étais en pleine confusion, Shin lui était en plein trouble.
      -Dis lui comment tu t'appelle, pourquoi tu as changer de prénom, pourquoi fuis-tu?!enchaina-t-elle dans une colère noire.Alors? Répond!
     Shin ne répondait toujours pas, ou il ne pouvait pas. Moi, cela me mettait mal à l'aise de le voir dans cette état alors je suis aller à son secours
      -C...assez!(je regarde autour de moi)...euh, non je voulais dire...ne...cessez de lui mettre de la pression.Il-...
      -Et alors? Moi, cela m'est égale s'il souffre ou non, tous ça il le mérite, cet assassin...
     Ce dernier mot qu'elle avait prononcé...j'ai cru rêver, mais...la réalité est bien plus effroyable que je ne l'aurai cru....
      J'ai voulu riposter, mais ma gorge et mon coeur me retint, mon estomac se nouait et dénouait, je ne pouvais rien faire...j'étais moi même troubler...
      -Vous avez raison, je ferai mieux de disparaitre...excusez-moi d'être venu au monde....je...
      -Mais enfin...Sh-...
      -Laisse tomber, Ran...tu ne peux pas comprendre...
     Et à cet instant-là, je me suis senti vraiment coupable. Le visage si triste de Shin m'a rendu plus anxieuse...je n'ai pas agit...je l'ai laisser fuire, comme il le savait si bien faire....
      -C'est exact, tu ne peux rien saisir tant que tu n'aurais pas entendu la vrai histoire...tu ne pourrai imaginer ce qu'il a fait, ce qu'il a put faire...il n'aurait jamais du naître...
     ...A ces mots-là, j'ai également prit la fuite, je ne voulais pas écouter la suite qui ne venait pas de Shin, je veux écouter son histoire de sa propre bouche et pas celui d'un autre. Mais cette entêtée ne veut rien savoir et cria ces paroles si blessante, sur tous les toits:
      -Ce garçon qui a tué sa mère! Celle qui lui donné la vie!! Shin ichi, disparait!
      Les larmes aux yeux, je suis partie à la recherche de Shin...ichi...
    ***
     Après nombreux obstacle, j'ai put le rattraper mais il était dans un état pis. Refermer sur lui même au recoin d'une réserve, j'aurai jurer voir un gamin bouder.
      -Shin ichi, je peux m'approcher?
      "Non", me répondit-il. C'est bien ce que je pensai: un môme qui boude.
      -D'accord, dans ce cas, je te parlerai d'ici.
     Il ne répondit pas, je me suis installer face à son profil.Il ne releva pas sa tête, je lui dit avec calme:
      -Je ne sais pas...quel est ton problème avec (j'hésite sur le mot)ta famille.Mais je suis prête à t'écouter, à n'importe quel moment n'importe quel condition...Alors s'il te plait ne prend pas tous tes ennuis sur toi. Ne te mens pas, ne te surmène pas.
      -Ce n'est pas ça, pas du tous ça...je..ne savais pas que...je ne savais vraiment pas qu'elle avait tant souffert...j'ignore que c'était de ma faute si elle est partie...
      -Je...excuse-moi, j'ignore ce qu'il s'est réellement passer mais je ne crois pas que c'était de ta faute. Si...tu en es là, c'est bien grâce à ta mère et heu...je ne pense pas que cela soit de son plein gré...alors
     Shin ichi me coupa.
      -Non, ce n'est pas vrai...mon père lui-même refuse de m'adresser la parole, il me reni, ne me prête attention, il ne m'accorde aucun regard, tous ça c'est ma tante vient de me le dire.
      -Eh bien, elle ne fait juste ajouter de l'huile aux feux, elle ne pense pas elle se qu'elle dit.
      -Ran, si je te disais que tu n'aurai jamais du naître et que tu disparaise, est-ce que tu te sentirai bien....?
      Là, j'avoue qu'il vient de toucher mon point sensible, ce genre de phrase me faisait mal au coeur, j'ai déjà traverser par cette période et je refuse de me le remémorer... mais Shin ichi est également dans cette impasse et je ne voudrai pas qu'il soit malheureux, lui qui d'habitude est si souriant, si blagueur, et si gentil.
    Je veux l'aider, l'apaiser et lui donner ne ce serait-ce qu'un peu de bonheur...
      -Excuse-moi, Shin ichi... c'est vrai je ne me sentirai pas mieux que toi, mais tu sais ce n'est pas avec ces mots prononcer par quelqu'un que je n'apprécie pas que je vais jusqu'à aller me suicider ou autre...et puis même si nous sommes plus de cette surface où nous vivons, personne ne va pleurer de nous, le monde continuerai à tourner... Alors c'est inutil de se sentir démoraliser par des paroles blessantes, mais vivre pleinement de la vie qui t'es offerte. Je suis sûr que ta mère serait fière de toi.
      -Pourtant c'est bien moi, qui l'ai "tuer"! Si elle ne m'avait pas eut, elle serait encore en ce monde, vivre pleinement de sa vie au prés de mon père et n'aurait pas perdu la vie...Pourquoi a-t-il fallu que cela arrive à ma mère? Pourquoi ne pouvait-elle pas avoir un enfant comme tous les autres mères? Pourquoi suis-je le seul à porter ce poid...?
      Je l'ai pris dans mes bras, sans savoir pourquoi...Mais quelque chose me disait que je ne devrai pas le laisser continuer à se culpabiliser.
      -C'est faux...tu n'as pas à porter de poid, personne ne t'y oblige, ce n'est que toi qui te sent responsable, mais tu ne l'es pas! Ne sois pas perturber par ce traumatisme, tu dois passer à autre chose, ne t'emprisonne pas, tu es libre de tes mouvements, alors agis!
      -Mais les faits sont déjà fait! Comment veux-tu que je puisse vivre tranquillement? J'ai une trourde conscience sur le dos! Je n'arrive pas à m'y liberer, c'est surement ma punition...
      -Non, ça ne peut pas être ça! Tu m'as dit que tous le monde était contre ta naissance, eh bien dis-moi, pourquoi est-ce que tu es ici? C'est parce que ta mère a souhaiter que tu puisses voir la lumière du jour! Tu ne dois pas lacher tous ce que tu as construit jusqu'à maintenant!
     Je l'enlaçai davantage, trop effrayer qu'il puisse m'échapper (bien que ça soit impossible), je ne voulais pas qu'il s'en aille, c'est un désir égoiste, mais personne n'est parfait...
      "je t'en prie, reste au moins auprés de moi..."
    Je ne sais plus ce qui s'est passer après mais je me souviens juste, que Shin ichi m'avait également prit dans ses bras et qu'il avait verser des gouttes de l'armes...
    ***
      Ran était assis sur un rocher assez volumineux pour le comparer avec un siège. Elle restait sagement en dehors du Ryokan en attendant la venue de son ami, qui lui avait proposer à boire et qui était partit en chercher.
    Mais le temps s'écoulait très rapidement qu'une sonnerie finit par retentir....
      La jeune fille sortit de ses pensées et regarda autour d'elle, à la recheche du bruit. Son regard s'attarda sur un téléphone mobil poser sur le sol.
    Ran n'était pas du genre à répondre à la place des autres, mais ce portable vibrait et sonnait de plus en plus insistant. Au point que Ran se leva, s'approcha de l'appareil électronique et appuya une touche, sans connaitre la signification. Grossière erreur. Un grésillement retentit et le coeur de Ran rata un battement. Elle se rendit donc compte qu'elle avait décrocher le portable d'un autre... Puis dans un silence, Ran reçut une brise et quand elle se tourna en arrière, apparut Dave. Poussant un cri, Ran relacha le portable.
      -Ne vous préoccupez pas l'autre et répondez sur celui-ci.
     Ne trouvant pas quoi dire, Ran saisit l'appareil, ouvrit le clapet et décrocha. Mais aucun son de l'autre. Pensant à une mauvaise blague, la jeune fille s'apprêta à racrocher, c'est alors qu'une voix crépita:
      -Ran... c'est moi.
      A l'instant que la voix résonnait, Ran cru réver... Cette voix qu'elle connaissait tellement, qu'elle chérissait tant réapparu en elle.
      -Haru...mais tu...
      -Attend moi, je viens te chercher.
     Et le fil coupa. N'ayant pas comprit du message, Ran resta ébahi.
    La minute suivante s'annonçait trépidante: un coup de vent apparut provenant d'un hélice d'une hélicoptère bien équipé. Celui-ci n'atterit pas, la porte se coulissa et une chevelure rousse-chataigne volait dans tous les sens sous les longs hélices, un ensemble de  costume noir d'élégance et un visage aux traits fin se tenait à quelque centimètres au dessus de Ran.
      Le jeune homme sauta de l'appareil volant et s'avança vers Ran, puis la portant sur l'épaule, il enleva sa princesse. Au moment de remonter dans l'hélico, il tourna sa tête et dit à Shin ichi qui revena à ce moment-ci.
      -Je l'emmène quelque part, ne cherche pas où.
    Entrant dans l'appareil, la porte se referma et le pilote fit envoler l'hélico....

    *********************                                    Fin du vingt-et-unième chapitre


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