• Chapitre 8: Le retour de l'Orchidée

     

    La bouteille heurta sa cible, qui n'était autre que Rei.Son front commença à s'ouvrir, ses mèches dégoulinait quelque goute de sang, il s'agenouilla lentement et recouvra sa blessure de sa main, Ran le saisit par l'épaule, le regard inquiét et horrifié.


      -Voici le résultat du désobéissence en vers Kyûji-sama, fit une voix féminine.

    Ran sentit sa colère monter et n'avait pas chercher à le dissiper.En se relevant, Ran marcha vers Ryû avec son regard dur comme le fer et haineux.

     

    Ryû ne fut pas surpris, mais il ne s'attendait pas au pire non plus.Posant à son tour son regard sur celui de Ran, il n'y avait aucune crainte qui se lisait sur son visage.


      -Qu'as-tu à me fix-...

    Gifle. La gifle retentit dans le tous le réfectoir, pourtant Ran n'y était pas allé forte, juste une simple gifle qui aurait put calmer qui que ce soit.Tous le monde se turent, n'osant pas avoir le même conséquence que Ryû ou sous l'effet de la stupéfaction.


      -Tu n'as vraiment pas coeur! Sérieux, ouvre un peu les yeux! Tu ne vois pas que ça ennuit tous le monde ton jeux à la noix? Essai de tourner tes méninges, je te prie, sermona Ran.

    Les paroles de Ran résonnèrent dans les pensées de Ryû.Tournant ses talons, Ran aperçus Josh portait Rei, puis elle s'avança vers Myû, tous le monde s'écarta de son chemins, bouche bée.

      -Je suis désolée de t'avoir mêlée à tous cela, s'excusa Ran.
     Kiyo s'approcha de Myû pour l'a relevé.Ran sortit du réfectoir, suivit de Josh transportant Rei.

    *
    * *


      -Mademoiselle, il faut vraiment que vous sortiez à présent.
    La proposition de Josh renfrogna d'avantage la mine de Ran.
      -La ferme!Je ne t'ai pas sonné! Et puis, la prochaine fois frappe avant d'entrée, espèce de perver!!
      -Je retiendrai cette leçon, mais pour l'instant vous devez sortir de votre lit et prendre l'air, cela fait déjâ deux jours que vous restez cloitrer dans votre chambre, qui commence à étouffer.
      -Pourquoi, je ne vois pas la raison de ma sortie, de toute façon tous le monde se fiche de ma présence.Que je sois dehors ou pas, cela ne te conserne pas.
      -Mais à monsieur Rei, si.
    Ran demeura un moment silencieuse, elle releva sa tête de quarante-cinq degrés pour voir l'expression de Josh, s'il mentait ou non.
      -...Qu'est-ce que Rei vient faire  là-dedans?
      -Monsieur Rei est très inquiet pour vous, ne pas vous voir pendent un certain temps, lui rend malade.
    Ran contempla le plafond en réfléchissant, puis elle se décida.
      -D'accord, je veux bien sortir, mais uniquement pour que Rei arrête de s'inquéter, je ne veux pas entendre dire que s'il tombe malade cela sera de ma faute.
      -Yes, my lady.

    *
    * *


    Arrivée au lycée en limousine géna Ran, mais elle ne rétorqua rien, elle était assez en retard comme ça.
    En entrant dans le batiment, tous les regards se posèrent sur elle, comme pour le premier jour de son arrivée à ce lycée...tordue.
      -Ran? Tu es enfin revenu! J'ai cru que tu n'allais plus revenir après ce qui s'est passé, s'exclama Myû.

    Ran souria à l'arrivée de son amie.Au moin il y'avait une personne qui pouvait remarquer sa présence au lycée. Les deux filles allèrent changer leur chaussures et entrèrent à leur salle de classe.Le premier pas lui fut fatal, l'ambiance lugubre entourait les élèves de la classe, les regards "t'es qui, toi" augmentèrent, les feuilles froissés à ses pieds l'a mis mal à l'aise.


      -O-ohayo, Tsukihana-san, salua une fille.
      -Heu...bonjour, vous êtes...?
      -Miya Mashiro, la...(elle regarda les autre du coin de l'oeil) délégué de la classe, dit la fille en acquiescent un sourir forcé.J'espère que tu passeras une bonne année scolaire, ici.
    "Ouais, ben, vivement que les vacances arrivent le plutôt possible" songea Ran.
      -Bon, et si on allait s'assoir, propasa Myû.

    Les trois filles cherchèrent du regard des places libres, sans succès, les autres leur cachaient la vue.Mais soudain une voix les interppela.Une voix féminine.


      -Ohé, les amies! Ici, il y'a des places libres!
      -Ah, c'est Kiyo, identifia Myû.
    Alors que les filles s'apprêtèrent à s'assoir, quelqu'un interpela Ran.
      -Attends Tsukihana, dit une voix masculine.
      -Qu'y a-t-il, demanda Ran.
      -Les F4 te demande, répondit le garçon.

    ***********************************                     Fin du huitième chapitre

     

    Chapitre 9: La surprise pour l'Orchidée 
    Je marchais dans les couloirs, vidé il y'a peu de temps.Tout en me dirigeant vers la sortie du batiment élève, je repensais aux phrase que j'ai dit, mais plus important, pourquoi est-ce que les F4 m'ont convoqué?
    Après m'avoir annoncer que les F4 me demandaient, un ricanement retentit dans la pièce et pas n'importe laquelle, le ricanement appartenait à une Menbers, celle qui m'avait balancé un seau d'eau en pleine face.Ce genre de ricanement me donnait toujours froid dans le dos.Le pire était encore à venir, elle faisait peut-être partie de cette classe, enfin le nombre de pourcentage qu'elle en faisait partie était assez gros.
      –Tsukihana?

    Le temps que la voix de Mashiro parvenait à mes tympans était plus long que je le pensais.J'observai attentivement ses traits, l'inquiétude et le doute, la même expression que j'avais eu il y'a peu.J'ai donc décidé d'apaiser ses émotions négatif en lui souriant, elle était pas plus rassuré mais au moins son inquiétude dissous peu à peu, du moins c'était ce que je croyais.La chef-Menbers descendit de son emplacement -dont la table- et mis son grains de sel en me disant des mots provoquant.
      –Tu ferais mieux d'y aller illico, si tu ne veux pas recevoir un second carton rouge, a moins que tu en désir?

    Je soulevai un sourcil, j'avais horreur de l'expression qu'elle adoptait actuellement, son arrogance avait depassait les bornes, ainsi que mes nerfs.Quand on me cherche, on me trouve.
      –Dis ce que tu veux, mais tu sais quoi?Tu ne vaux pas mieux que moi, lar-bin, ai-je insisté sur le dernier mot avec un ton provoquant également.
      –Qu-...

    Ne la laissant pas finir sa phrase je claquai la porte et continuai mon chemin vers la sortie.

    Arrivée devant la magnifique serre, je respirai profondément avant d'approcher ma main au poignet.Alors que ma main n'était plus qu'à quelque centimètre du poignet, une voix métallique m'empêcha de poursuivre.
      –Ma-de-moi-selle, je vous prie de me do-nner le co-de a-vant d'ac-cé-der à la por-te, me dit-il en faisant bien attention d'articuler chaque syllabe.

    Je restai ébahi devant ce robot, qui ne mesurait qu'un mètre environ.
      –Hn.C'est bon, Tarou, laisse-la entrer.

    Je reconnu aussitôt la voix, qu'importe le grésillement brouillait la voix, grâce  à son arrogance, je compris qu'il ne pouvait s'agir que d'une personne, le seul et mon unique ennemi: Ryû kyûji.Le robot nommé Tarou s'écarta de mon passage, je put ainsi pénétré à nouveau dans cette merveilleuse serre.L'ambiance calme, la douce mélodie harmonieux des chants d'oiseau, se répendaient dans toute la serre, tous aurait put paraitre si parfait, si les propriétés ne se trouvait pas sur place, malheureusement c'était trop beau pour être vrai.
      –Tu ne peux donc pas pressé le pas, me demanda-t-il sans réellement vouloir entendre la réponce.Aurais-tu besoin d'un coup de main par hasard?

    Je sentis soudainement une étrange sentiment me jaillir.Mais ce n'est pas parce que je fus aussi surpris que je vais me laisser faire.
      –Je suis navrée si ma façon de marcher ne vous plait, mais je ne saurais faire autrement Kyûji-san.

    "Surtout que la boîte de conserve m'y avait retarder"ai-je faillis rajouter, mais je me retint, cette machine avait été crée pas Kishimoto-san -que ce soit le vieux ou le jeune qu'importe, mais je n'allais tout de même pas m'en faire de lui comme mon seconde ennemi bourgeois !Kyûji-san est mon principal ennemi, d'ailleur son visage devena plus maussade que précédement.Ca lui apprendra, oeil pour oeil, mon garçon.N'étant pas forte pour décrire les visages d'autrui, je ne put réellement savoir quelle expression il adoptait actuellement, mais par contre je distinguai une partie de son visage avait renfrogné.Oops, je crois que j'ai touché au mauvais endroit.

    Son regard déplaisant me mit mal à l'aise, ne pouvant plus épargner le regard, j'observai sa position. Menton posait sur la paume droite, le coude droite accoudait à l'accoudoire de son fauteuil, il avait complètement l'air de s'ennuyer.Elément qui m'agasa davantage, mais son regard était vraiment pénétrant, je comprend pourquoi, la chef-Menbers me détestait autant, Kyûji-san m'avait convoquait à la serre alors qu'elle n'en avait jamais eu l'occasion, mais ce n'était pas de ma faute, quand on me cherche, on me trouve, je n'ai fait que de rendre ce qu'il m'avait fait subir!Et puis je ne comprenais pas pourquoi les filles le veulent autant, hormis le fait qu'il était d'une beauté suprême, il avait un sale caractère et il s'habillait déraillé.

    Voulant me débarrasser de son image de mes pensées, je posai mon regard à son alentour.Les deux autres bourgeois en sa compagnie, étaient encore (ou peut-être toujous) avec lui.L'un des deux avait les cheveux et les prunelles vert émeraude, son regard était tout aussi pénétrant que son...superieur...? Si ma mémoir fut bonne, il se nommait Shin Fujishima, et c'est le successeur de son père.L'autre avait des cheveux chatain et le teint noisette, assit sur son fauteuil, il tripotait un machin, évidement puisque c'est le fils de monsieur Kishimoto, le grand inventeur de l'époque, depuis que j'étais entrée de la serre il n'avait même pas prit la peine de lever son visage, apparement tous ce qui se passe autour de lui ne l'interresse guère, consacré à ses inventions il n'a surement pas encore remarqué ma présence, ou du moins si, mais il s'en fout complètement...

    Lorsque Kyûji ouvrit ses lèvres, quelque chose clocha, mais quoi, je l'ignorais encore, par contre je ne tardai pas à découvrir, Rei ne se trouvait pas dans les parages, je commençai alors à me creuser la tête et Kyûji devina mes pensées.
      –Si tu cherches Rei, il n'est pas ici.
      –Alors où se trouve-t-il?me suis-je empressé de demander.
      –Je l'ignore( voyant mon regard ahuri, il enchaîna), mais tu devrai le savoir, non?Puisque tu vis sous le même toit que lui.

    Le point revenait à Kyûji, il n'avait pas tord, mais j'ignorai vraiment où se trouvait Rei.Ce matin, j'avais juste entendu un claquement de porte avant que Josh vienne dans ma chambre, mais sinon je ne l'avais pas vus jusqu'à mon départ au lycée.Voyant que je ne répondit plus rien, Kyûji annonça quelque chose qui n'allait pas me plaire.
      –Dis-moi, toi, comme tu m'as humilier devant tous le monde, tu ne vas t'en sortir indemne, dit-il avec une voix neutre, il soupira avant de reprendre la suite de son discour.Bon, alors, tu dois participer à une Hana Hime et je te préviens, tu as interêt à gagner.

    Je ne répondit pas, en réalité je ne pouvais pas répondre puisque je ne comprenais pas ce qu'il disait, alors je demeure silencieuse.
      –Et puis si tu remporte le concour, rajouta-t-il, je tirerai un trait sur ce que tu m'as fait, dans le cas contraire tu devras le payer cher, vus?

    Nouveau silence de ma part, là tous chamboula, c'est quoi Hana Hime? Comment ça je dois gagner? En parlant de gagner, c'était la panique qui me gagner, moi.Je ne savais pas si j'étais facil à lire comme dans un livre ouverte, mais Fujishima avait lu en moi et dit:
      –Tu n'as pas à t'inquiéter, tu devrais plutôt être honoré ce n'est pas toujours que Ryû donne une second chance à quelqu'un, cela dit ce n'est pas non plus tous les jours qu'on le gifle et en public qui plus est.
      –Hé, tu parle trop là, remarqua son acolyte.
     Honnêtement je ne savais pas si c'était vraiment une aide, pourquoi devrai-je être honorer?
      –Excusez-moi, mais je ne vois sérieusement pas de quoi vous me parlez.
      –Tu le fais exprès ou quoi?rétorqua Kyûji, tu vas devoir participer à une grande évènement...
      –C'est ce que je ne comprend pas, lui ai-je couper, pourquoi devrai-je participer à cela?
      –Tous simplement parce que j'ai envie de m'amuser, me dit-il.
      –Ah bon, ce n'était que pour cela?demenda l'autre.
      –Oui.De toute façon, quelqu'un d'autre va t'expliquer en détail alors c'est bon, tu peux disposer, m'expliqua-t-il en claquant des doigts.
      –Pardon?

    Soudain, la porte de la serre s'ouvrit et deux hommes vêtus de noir, m'entraînèrent vers la porte, cependant je n'avait toujours rien pigé...
    ****************************************************
    Fin du neuvième chapitre

     

    Chapitre 10:L'Orchidée s'échappe
    Ce fut le silence total après le départ de Ran, aucun des trois lycéens n'ouvrit la bouche pour faire ne serait-ce qu'une simple remarque.Ryû bascula sa tête en arrière et resta ainsi, Shin tambourina la table -se situant à côté de son fauteuil- de ses doigts attendant que Ryû dit quelque chose, mais malheureusement rien et Yuki continuait de tripoter son manchin à la main, le comportement de chacun des trois lycéens était vraiment normal, simple, l'attitude de tous les jours comme s'ils avaient sauté dans le temps, retouné dans le passé, revivre les pires douleurs, mais est-ce vraiment ce qu'ils veulent?Ca, personne ne saurait le répondre, du moin pas maintenant.

    Soudain Ryû se leva sans un mot et sortit de la serre, l'air maussade.

    Shin ne s'attendait pas à cela, il n'aurait pas cru Ryû si silencieux, lui qui d'habitude aimait martirisé les autres, ceci était un grand changement de sa part.Puis Shin s'élança:
       –Dis-moi qu'en pense-tu, toi? (Yuki leva sa tête) Crois-tu que la participation de Ran au Hana Hime est normal?
       –Non, répondit simplement Yuki.
       –N'es-tu pas curieux de le savoir, demanda Shin.

    Yuki observa Shin un instant avant de soupirer discrétement.
       –Non.Car, de toute façon ce ne sont pas nos affaires, tu vis ta vie et lui la sienne, rétorqua séchement Yuki.

    Shin ne prit pas la peine de broncher, il aurait du prévoir que cela finirait ainsi, il n'avait jamais réellement saisit la façon dont Yuki procédait, toujours aussi froid tel que la neige, mais n'était-ce pas ainsi?Yuki agissait régulièrement d'une certaine manière qui ennuyait les autres, même entre les F4.

    Ce que Shin ne comprenait pas, c'était le pourquoi être rester avec eux, alors qu'il n'ont pratiquement plus rien à faire ensemble.Tous ces année passaient ensemble n'avaient pratiquement servit à rien, à force que le temps pasait, chacun prit son propre chemin en agissant seul, dans son coin.

    Poussant un soupir, Shin se leva à son tour de son fauteuil et quitta la serre, laissant Yuki et sa solitude.

    La porte de la serre claqua, Yuki cessa de tripoter sa machine, il réfléchit un long moment, soudain un éclair de souvenir le traversa, il soursilla et... écrasa sa machine à deux main.

    Fermant la porte derrière lui, Shin resta un moment devant la porte, avant d'avoir trouver une idée.Saisissant son portable de sa poche, il pianota vite fait quelque numéros et appuya sur le bouton "appel".
    Le portable de Rei Tsukihana sonna.Rei saisit son portable, il vit le nom Fujishima se propager sur l'écran de son mobile, hésitant un instant de répondre, il fut surprit par une voix masculine, plaignante.
       –Mais tu vas décrocher, oui?se lamenta Haru Yamamoto, dans la pièce voisine, la sonnerie commence à me donner des frisson!
       –Tu ne vas pas te plaindre contre une innocente sonnerie, tout de même!
       –Mais oui, bien sûr, ironisa Haru, décroche ou même un mécanicien ne pourra plus réparer ton téléphone mobile, menaça méchement Haru.
       –Si tu crois que tu me fais peur avec tes menaces à la noix, protesta Rei en appuyant en même temps le bouton vert inconsciemment.Ah, zut.
       –Hé ben, alors, Rei? Qu'est-ce qui t'as attarder?taquina Shin à l'appareil.
       –La ferme, râla Rei, que me veux-tu, et t'as interêt que ce soit important !
       –Oh, eh bien, en fait...Zzz....
       –Hé, ton mobile grésille!
       –Hein?J'ai pas compris, dit Shin en élevant la voix.
       –Bref, ce n'est pas important, dis ce que tu as à dire, dit Rei, d'un ton ordonnant.
       –Ah oui, en fait, ta petite soeur chérie participe au Hana Him-...
       –Qu-Quoi?! Au Hana Hime?!

    Et tchac, la ligne se coupa. Shin pesta contre son mobile, couper à un moment pareille! De son côté, Rei contacta Josh et lui expliqua toute la situation.

    *
    * *Dans une salle de musique abandonné, se trouvait deux femme, une qui avait la trentaine et tenait un baton de bois et l'autre, une lycéenne, qui marchait avec difficulter avec une longue robe et des talons.

    Il s'agit bien évidement de Ran et d'une...femme étranger, Ran avait été à nouveau embarquer dans une histoire incompréhensible, et le pire était qu'elle devait s'habillait chiquement, une des choses qu'elle avait horreur, depuis petite elle avait assisté au défilé de ses deux "soeur" et cela lui avait complètement dégouté, les longues robes trainant au sol et les haut talons d'a peu près neuf centimètre étaient les pire styles vestimentaire de Ran.A chaque fois qu'elle devait avancer d'un pas elle arrivait toujours à écraser sa robe au passage, du coup elle était obligé de soulever sa robe de quelque centimètre, mais jamais plus haut des chevilles, par contre Ran fait souvent le contraire.
       –Mademoiselle ce n'est pas parce que vous avez une peau blanche et que vous n'avez aucun point noir que vous devez soulever votre robe aussi haut !se plaigna la femme étrangère, avec un ton anglais.

    Ran rougit sous cette remarque, mais que savait-elle à son sujet, Ran avait horreur des préjugées et pour ne pas tous arranger, Ran entendit des ricanements derrière son dos, en effet peu de temps avant d'entrée dans la salle de musique, deux autre fille s'y trouvaient déjâ sur place et au moment du ricanement la porte s'ouvrit pour laisser place à Shin Fujishima.
       –Mais qu'en savez-vous ?! se défendit Ran, sans remarquer la présence de Shin, est-ce que vous avez subit des heures et des heures de lamentation et de désespoire absurde, rien que pour du simple maquillage?! A mon avie, non! Car c'est vous qui vous plaigniez pour un rien! Alors bouclez-la!

    Le sourire des deux filles disparurent et l'étonnement apparurent sur leur visages, Shin semblait s'amuser par se qui vient de se passer, la femme agée semblait ne pas comprendre ce qui se dérouler, Ran avança vers la porte avant de s'arrêter et se retourner vers eux et leur cracha:

       –Encore une chose (Ran se baisse et saisit le bout de sa robe à froufrou) : j'ai toujours détesté ce genre de style, a-t-elle déclaré en déchirant sa robe, pour en faire une jupe et enleva ses escarpins avant de sortir.
       –Mais...pour qui se prend-elle?rouspéta l'une des deux filles.
       –Oui, quel toupet !pesta l'autre.
       –Eh bien, ce n'est autre qu'une Tsukihana, dit Shin.
       –Comme c'est étonant, ceci est bien la première fois que nous recevons une commande des Kyûji...
     
    Après être sorti de la salle, Ran marchait à toute vitesse et pied nu, mais au bout du compte elle commençait à sentir la douleur et ralentissait.   
       –Ah, zut! Mais c'est quoi ça ?! On dirait un champ de ferrail !!
       –Navré.Le sol a été construit ainsi avant même que nous venions ici, expliqua une voix.
    Ran vire-volta et vit Shin, qui le dévisageait.
       –Tu ne veux pas te changer ? Parce que là, on voit tous, remarqua Shin.
    Ran rougit à nouveau et demanda:
       –Et où est-ce que tu veux que je me change?!
    Shin réfléchit un moment, avant d'emmener Ran quelque part.
    Plus tard Ran se trouvait dans les vestiaires des garçons et se changeait. Après s'être changer, Ran sortit gêné, avec l'uniforme de garçon, ainsi qu'une casquette.
       –Ho, mais cela te vas bien.
       –Oui, mais cest trop large..., avoua Ran en rougissant.
       –Tu vas pas te plaindre pour un simple détail, dit Shin en soupirant.Bon, aller viens.
       –Mais où ça?
       –Mon portable a craqué, on va s'acheter un nouveau.
       –Tu n'as cas te l'acheter toi même!
    Mais Shin ne l'écouta pas et l'emmena dans une boutique de mobile -très chic.Un peu plus tard, Shin marchait dans l'enceinte du lycée, il tenait dans sa main gauche la main de Ran et dans la main droite son nouveau mobile -il était en train de pianoter- ils passèrent devant une table de dinette abritait sous un parasol.Deux filles étaient installé, deux lycéennes que Ran reconnu aussitôt, elles faisait parti des Menbers -une qui l'avait sermonné et l'autre mouillé avec de l'eau sale.Ran écquarquilla les yeux en les voyant, vêtut de la tête au pied une robe à froufrou et elle portait une serretête à froufrou également.Ran détourna immédiatement le regard pour ne pas avoir de malaise et murmura: "C'était quoi, ça? Je ne venais d'apercevoir deux monstre à froufrou ?!".
    Ran et Shin passèrent devant les deux filles, incognito, du moin c'était ce que croyait Ran.
       –Pff, depuis quand on traverse le jardin des menbers avec autant d'audace?pouffa l'une des deux filles.
       –En plus ils osent se montré publiquement...
    Ran prit les remarques en plein fouet, les deux lycéens venaient de se faire prendre pour des homosexuel.Shin avait tous entendu mais il restait indifférent, ce n'était pas pour autant le cas de Ran et cria:
       –Hé mais vous êtes qui, vous?! D'abord si vous voulez dire quelque chose dites le en face!
    Ne la laissant pas finir, Shin couvra la bouche de Ran et s'enfuya. Il s'arrêta près d'un arbre pour s'éssoufler, lui et Ran.
       –Pourquoi tu ne m'as pas laisser continuer?! C'est pas parce que tu passe incognito (Shin ne portait jamais d'uniforme, il avait une casquette avec des lunette de soleil, ainsi personne ne put le reconnaître)que ça l'est autant pour moi (Ran était habillé d'une uniforme de garçon et avait caché ses cheveux sous la casquette)!!cracha Ran rigoureusement.
       –Mais ce n'est rien, et puis je me sens libre quand je suis déguisé...
    Ran observa Shin, en observant de plus près on pouvait apercevoir un sourire forcer.Un long moment de silence s'installa.
       –Ok, alors faisons comme ça...dit Ran, avant de chuchoter aux oreilles de Shin.
    Un peu plus tard Ran et Shin se trouvaient sur un arbre près du parasol de la table à dinette, Ran tenait dans sa main une élastique et une arraignée en plastique, prête à attaquer.
       De l'arbre qu'ils se trouver ils pouvait entendre à peu près tous ce que les filles se disaient:
       –Le défie "Hana Hime" va bientôt commencer, dit l'une d'elle.
       –Oui, j'ai hâte de voir la façon dont elle va se faire humilier, déclara l'autre.
    En entendant cela, Ran ne put s'empêcher de lacher le bout de l'elastique, et l'arraignée en plastique se propulsa dans l'une des tasses des deux filles, celle dont la tasse a été propulser l'arraignée prit sa tasse et s'apprêter à boire lorsqu'elle remarqua qu'il y'avait des bulles sortant du liquide et aperçu...une patte tous poilu.
       –Aaaah !!! Au secours !!!
       –Beurk, c'est écoeurant, se plaigna l'autre.
    Les deux filles prirent leur jambes à leur cou, mais lentement à cause de leur robes à froufrou.
       –Bien fait, ça leur apprendra de mettre ce genre de robe, déclara fiérement Ran.
       –Eh, ne gigotes pas, ou sinon tu riques de tom-...
    A peine qu'il eu le temps de commencer le dernier mot que Ran vacilla et tomba en arrière.
    Mais heureusement qu'elle était accompagné d'un garçon, ou elle risquait réellement de tomber et se fracturer le crâne, Shin qui lui avait mis en garde (enfin à moitié) avait porté sa main sur le dos de la jeune fille qui perdit sa casquette et ses cheveux s'envolèrent dans tous les sens.
       –Voila, ça t'apprendre à ne pas écouter quand on te parle...
    Ran rougit sous le fait que leur visage n'étaient plus qu'à quelque centimètre d'écart, et sous le coup de la surprise elle resta figer sur place (du moin à sa position, car elle n'avait pratiquement plus de place), mais soudain une voix surgit de nul part les interpella:
      –Je vous interdit de vous en approcher d'avantage...
      –Oh mais c'est...
    *************                                    Fin du dixième chapitre

     

    Chapitre 11: Le charme de l'Orchidée

        –Josh, s'exclamèrent les deux lycéens.
       –Oui, c'est bien moi, dit celui-ci, veuillez redescendre de cet arbre, je vous prie.
       –Bien sûr, répondit Shin.
       Ce dernier prit Ran dans ses brase et saute de l'arbre sans hésitation.
       –Mais que...
       Shin se reposa sur la terre ferme, sans égratignure, ni rien.Ran, dans les bras du lycéen, était complètement déboussolé, apeuré.
       Reposant Ran à terre, celle-ci avait le tournit et posant le premier pied au sol, elle arrêta immédiatement son geste.Elle s'était foulé la cheville.Ne pouvant faire un pas, elle s'efforça de sourire.
       Josh remarqua que sa maitresse n'avait pas complètement posé son pied au sol, le détail dont tous le monde pouvait s'en passait, mais pas lui, pas le majordome des Tsukihana.Concluant que sa maitresse s'était blessé, Josh fusilla Shin du regard.
       Shin reçu le regard perçant du marjodome et commença à couler des sueurs froides tout en pansant:"J'ai toujours était effrayé par son regard et j'en déduit qu'il n'est pas prêt de changer...".
       Poussant un soupire discrèt, Josh s'approcha de Ran et la souleva d'un coup.
       –Qu'est-ce que...
       –Rentrons à présent, mademoiselle.
       Ne laissant pas sa maitresse répondre, Josh emmena celle-ci à l'entrée de l'établissement, une limousine était garé devant.Ouvrant la porte arrière, Josh posa Ran sur le fauteuille.
       Avant que la porte ne se ferme, Shin dit:
       –Ne t'inquiète pas pour le "Hana Hime", je vais t'aider...
      Ran ne comprit pas ce que Shin venait de dire, mais quand le moteur du véhicule s'éleva et que la limousine démarra, Ran saisit la phrase.
                                                                              ***
       Ran se trouvait assit sur une fauteuil moelleux, dans la salle de séjour des Tsukihana.
       –Ran, dit une voix masculine, devenu famillière pour Ran depuis peu, ça va?
       –Oui, je vais bien Rei, ce n'est qu'une crampe...
       –Alors pourquoi es-tu si tendu et à la foi inquiète?
       –Ben, je...p-participe au "Hana Hime"..., begaya Ran.
       –Oui, et?
       –J-j'ai paumé mon éducatrice étrangère...
       –C'est une blague...?
       –N-non...
       Rei demeura silencieux un moment, avant de se mettre à réfléchir.
       –Attends-moi une minute, déclara Rei après avoir réfléchit une bonne minute.
       Rei sorta de la salle de séjour et monta dans sa chambre, prendre les matériel dont il avait besoin et redescendit.
       –Josh contacte toute les étranger présent en Japon et cherche une qui est encore libre.
       –Bien, monsieur, obéissa celui-ci.
       –Que compte-tu faire Rei?
       –Tu verra, je te protègerai, dit Rei d'un ton rassurant en acquiesant un sourire.
                                                                                ***
       Le soleil matinal rayonnait de partout y comprit sur la demeure des Kyûji.Un rayon lumieux traversa le troux laissé par les rideaux, qui réveilla le propriétaire de la pièce, celui-ci se réveilla, les paupière encore lourde, il claqua des doigts.
       La porte s'ouvrit et deux homme habillé de noir en blanc entrèrent avec un plateau de vêtement plier proprement et un plateau avec une bassine rempli d'eau plus une serviette.
       Le majordome, avec le plateau vêtement, déplia les vêtemets, déboutonna les boutons s'il y'en avait et habilla son maître.Le second passa la serviette dans la bassine d'eau chaude et donna la serviette à son maître, celui-ci le prit lentement et s'essuya le visage.
       Les deux majordomes sortirent après avoir terminer leur labeur, et un troisième entra dans la pièce.
       –Bien dormi monsieur Ryû?demanda-t-il.
       Ryû poussa un petit gémissement en guise de réponce."La pièce est trop lumineux" avait traduit le majordome interieurement, il s'inclina -signe s'excuse.
       Descendant les escaliers un à un et lentement, Ryû évita le bureaux de travail de son père.Il alla immédiatement dans la salle à manger et pria fortement que personne ne s'y trouvait.Mais la prière ne fit aucun effet, sa mère s'y trouvait.Ryû gromela quelque chose d'incompréhensible et alla s'assoir en face de sa mère.La table était long et spacieux, vingt personnes pouvait s'y installer, mais il n'y avait simplement que quatre chaise.
       Ryû déjeuna silencieusement, mais ce ne fut pas le cas pour la dame, s'inclinant sur côté elle dit quelque chose à une domestique.
       –Envois-moi le cuisinier.
       La domestique obtempéra, quelque minute plus tard le cuisinier se trouvait devant la table, son chapeau à la main, il était tendu.
       –Est-ce vous qui avait cuisiner cela? demanda dame Kyûji.
       –O-oui..., bafouilla le cuisinier, quelques sueurs froides dégoulinait sur son front.
       Dame Kyûji regarda le cuisinier méprisament, avant de...d'acquiser un sourire narquoi, qui glaça le sang de tous les domestique, ainsi que celui de Ryû.
      –Eh bien, vous devez être malade pour cuisiner de tel horreur.Passe-moi mon carnet de chèque, ce vieux cuisinier a besoin d'un repos, éternelle, ajouta dame Kyûji.
       Le cuisinier supplia à dame Kyûji de lui donner une seconde chance, mais celle-ci ne lui avait même pas adresser un seul regard.La scène coupa l'appétit de Ryû, sortant de la pièce, il se prépara pour sortir de cette demeure étouffant.Apparement l'attitude de la mère est beaucoup plus puèril que le fils, serait-ce héréditaire? Ca personne ne saurait le répondre.
       Ryû sortit de sa demeure et vit un véhicule."Sûrement la vieille...tant pis elle n'a qu'à en commander un autre."songea-t-il, il entra dans la limousine, suivit de son majordome.Il donna sa destination au chauffeur, celui-ci demarra.
                                                                                    ***
       Chez les Tsukihana, l'ambiance n'était guère mieux.Ran assit sur le canapé n'arrêtait pas de se lamenter.Rei devant l'ordi se grattait ses cheveux, l'air embêter et Josh, au téléphone, n'avait eu aucun résultat.
        –Que faire? Le jour J approche...
       –Ne t'inquiète pas, tous va s'arranger, dit Rei.Et même s'il allait faire quoi que ce soit, je te défendrai.
       –Défendre contre qui?demanda Ryû.
       –Contre toi, répondit Rei.
        Silence.
       –Q-que...que fais-tu ici?!s'étonna Ran en se redresssant.
       –Venu te rendre visite évidement.
       –Par où es-tu entré?
       –Par la porte bien sûr, mais dîtes-moi vous avez un problème??
       –Non, aucun, répondit Ran à toute allure.
       –Vraiment? insista Ryû. Mais que vois-je, où est passé ton éducatrice?
       Ran ne sut quoi répondre et se cacha derrière Rei.
       –Qu'as-tu fais?
       –Fiche lui la paix, Ryû.
       –Pourquoi? Tu as paumé ton éducatrice, n'est-ce pas?(Ran ne répond pas)Inutil de le cacher, j'ai reçu son appel ce matin et elle m'a confirmé que tu étais parti sans te retourner.
       Ran poussa un gémissement et gloussa, Rei était surpris d'entendre cela de la bouche de Ryû, ce dernier était silencieux.
       –Bon, dit finalement Ryû après quelque minute de silence.
       –Que compte-tu faire?
       –Te donner des leçons, et surtout ne croit pas t'échaper si facilement.
       Ran ne répondit pas, en fait il n'y avait rien à répondre.
                                                                                   ***
       Le jour J arriva, c'était un lundi, au lycée Eitoku se trouvait un gymnase, celui-ci était rempli de lycéens, les spectacteurs étaient assis sur le balcon derrière une vitre, au centre de la pièce se trouvait une estrade, les concurrents se préparait dans les coulisses et les juris (trois exactement) étaient assis devant l'estrade.
       Le concour commença.Chaque concurrente avaient été magnifique ou studieuse, Ran était la dernière concurrente, sur l'estrade elle ne réagissait pas, soudain toutes les lumières s'éteignirent, tout devinrent sombre, tous sauf Ran, sa robe avait été fait à partir des perles lumineux dans l'oburcurité, les perles avaient plusieur couleur, Ran fit le tour sur ses talons et les perles brillaient comme une arc-en-ciel dans la pénombre nuit.
       Les autres concurrentes regardaient la scène d'un mauvais oeil, le concour fut terminé, le micro allait désigner la "Hana Hime"...
       Le roulement de tambour se fut entendre dans le gymnase et l'intrigue augmenter à chaque fois qu'il y'avait le bruissement de tambour.
       –La gagnante de cette année est...Ran Tsukihana !!
       Des applaudissements résonnèrent dans le gymnase, d'autre des rouspètements.
       –Voila qui est fait, tu es pardonné.
       Ryû monta sur l'estrade, le sourire aux lèvres, il manigançait quelque chose.C'était le cas, il s'approcha de Ran, la saisit par la taille et...pressa ses lèvres contre ceux de Ran...

    *********************                              Fin du onzième

     

    Chapitre 12: L'Orchidée déprime

      Ran eu droit à tous sorte de plainte, écarquillement des yeux, jérémiades, bouche grande ouverte, lamentation, etc..., mais à ce moment là, rien n'était parvenu à ses oreilles, aucune pensée, ou peut-être bien le...baiser.
                                                                          ***
      –Je vous prie de vouloir sortir de votre chambre, mademoiselle, dit Josh en frappant à la porte.
      –Jamais de la vie!! Plus jamais je ne sortirai de cette chambre, jamais!! râla Ran.
      Quatre jours s'étaient écoulé depuis la scène du baiser, Ran n'avait plus remit les pieds en dehors de sa chambre, chaque fois qu'elle s'était résigné elle s'approcha du poigné puis...plus rien.Le souvenir que ses lèvres avaient été éfleuré par un garçon qu'elle détestait lui envahit quand elle posait les pied à l'extérieur. Josh avait essayé d'ouvrir la porte à plusieur reprise, mais sans résultat, Rei qui patientait tous les jours dans la salle de séjour commençait à perdre patience, Ran ne voulait même plus l'adresser la parole.
      Ryû Kyûji, la cause de tous ces boucans, se détendait dans sa serre magistral jusqu'à ce que des frissons lui parcouru, il soupira.
      –Y'a-t-il un problème? demanda Shin Fujishima.
      –Non...rien du tout...
      Yuki ne prit même pas la peine de prendre la parole, toujours en train de tripoter son machin.
      –Déprimerais-tu à cause de Ran? 
      Ryû manqua de s'étrangler. Depuis le jour du baiser, il n'avait plus revu Ran, elle était sûrement en train de se lamenter dans son coin, mais tous cela elle le méritait, se disait-il.
      –Pas du tous, si je déprime juste pour cela, qu'adviendra du futur. 
      Plus personne ne parla, le silence s'installa dans toute la serre.Mais cela ne dura pas longtemps, un couinement retentit, la porte s'ouvrit en fragant delit et une frêle lycéenne entra d'un bond. 
      –Ryû Kyûji, tu vas payer pour tous ce que tu as fait! hurla une voix féminine.Que tu bizute Tsukihana passe encore mais je ne te pardonnerai jamais pour ce que tu as fais à Myû!
      Derechef le silence s'installa.
      –Que fais-tu ici, Sugisaki-san*? demanda Yuki.[*suffixe pour le respect]
      Tous le monde se retourna vers Yuki et le regardèrent un instant avant de reprendre où ils en étaient.
      –Comment as-tu fais pour entrer? demanda Ryû.
      –Ce n'est pas le problème que je te cause! Par ta faute la nouvelle chiale!
      –C'est normal, c'était mon but, dit Ryû tous simplement.
      Une réponce dont on pouvait s'attendre de la part de Ryû, Kiyo Sugisaki s'énerva davantage et haussa le ton.
      –Mais Myû également! Elle n y'est pour rien, elle! Alors je voudrai que tu convaincs la nouvelle de ressortir de son trou, pour que Myû soit plus serreine!
      –Jamais.Et puis j'ai pas d'ordre à recevoir d'une fille de ta catégorie.
      –Et pourquoi tu ne le ferais pas, hein? Tu es humain, pas un être surnaturel qui domine le monde, que je sache! rétorqua Kiyo, séchement et rigoureusement. 
      –Mais tu vas te taire, oui? A moins que tu ne veux être exclu à jamais?menaça Ryû.
      –Tu crois que tu me fais peur avec tes menaces? Depuis le temps que je te connais, je ne crains plus tes menaces!
      Ryû ne répondit pas et claqua des doigts, deux hommes vêtus de noir entrèrent dans la serre embarquèrent Kiyo, qui persistait à râler.
      –Que vas-tu faire à présent? demanda Yuki.
      –Je te trouve bien bavard, aujourd'hui, fit Ryû.
      Cette remarque n'avait rien de méchant, mais fit taire Yuki.Ryû se mit à réfléchir.
                                                                                 ***
      Je le hais.Ce pervers de Kyûji va me le payer!Ce voleur de tricheur!! M'embêter le suffit pas, il a fallu qu'il...me vole mon premier baiser!!
      Qu'il crève le plutôt possible! Qu'il emporte tous ses mauvais souvenir dans sa tombe et qu'il souffre à jamais!Je n'avais encore jamais connu un garçon aussi détestable que lui!
      Je le déteste!!
      Larme aux yeux, gorge sec ainsi que le coeur nouer...j'avais l'impression de sombrer dans la folie!! On frappa à la porte, j'ai pensé que c'était Josh qui insister encore, mais le choc que cela m'avait donné en apprenant que c'était Ryû Kyûji, mon ennemi juré!
      –Eh!Tu comptes rester à l'interieur toute ta vie?demanda-t-il.
      Tant que tu seras là, oui.Je ne voudrai surtout pas voir son visage.
      –Ben, laisse-moi te dire tu finiras vieille sans te rendre compte en restant dedans, et que tu seras veuve dans peu de temps.
      Espèce de...non, calme-toi, Ran, tu dois te maitriser, ce mec ne cherche qu'à te provoquer, reste zen...
      –Et puis ça t'apprendra à me provoquer, t'as interêt à réfléchir avant d'agir la prochaine fois.
      Alors là, c'en était trop, il n'avait pas d'ordre à me donner et moi, je n'avais pas à les recevoir, me relevant de ma place, j'avançai de pied ferme vers la porte, pour l'ouvrir brusquement et tomber sur lui, visage indifférent, bien droit sur sa place et seul.
      –Ca suffit! Tu dis que personne ne voudrait de moi, et bien se serait pareille pour toi! Et d'abord tu n'as pas d'ordre à me donner!
      –Non mais, pour qui tu te prends? Bien sûr que je te donne des ordres puisque mon rang est beaucoup plus élevé que le tien.Et tu ne seras pas la seule, parce que tous le monde viendrait à mes pieds, mais toi, personne ne te voudrait, car tu est laide, mocheté!
      Je reçut ces phrase en plein fouet sur mon visage, comme une claque, d'ailleur l'idée m'éfleura, je levai ma main et gifla une seconde fois son visage, la claque, non l'éfleurement se passa sans bruit, pourtant j'ai sentit sa colère monté, prise de panique, je voulu retourner dans ma chambre -qui n'était qu'à un pas derrière moi, mais il retena mon élan...
      –Qu'est'ce que tu...mais...
      Il m'avait soulevé et me portait sur son épaule, comme si j'était un sac de riz.Je me suis débattu, mais malgrès son physique -qui était mince, il était assez costaud -pour m'avoir porter.Arrivé devant le lit, toute la scène d'après s'était déroulé trop rapidement pour que je puisse le décrire.
      J'étais sur mon lit et Ryû Kyûji était sur moi.Il avait plaqué sa main droite sur ma bouche, afin qu'aucun son ne sortent et sa main gauche plaquait contre mon poigné droit, pour que je ne puisse pas me débattre, enfin d'après moi.J'avais essayé de me débattre, de gigoter, de gémir, mais rien ne fit, absolument rien.
      –Je te préviens si tu m'écoute pas, je te jure que je vais voler toute tes première fois et ensuite tu pourra regreté de ne pas m'avoir écouter.
      J'étais choqué.Il allait voller toute mes première fois?Une terrible pensée me traversa l'esprit, l'arme aux yeux, je priai de tous mon âme."Seigneur, pourquoi ai-je ouvert la porte?"me suis-je mit à pester.J'avais continuer à gigote, tout en sachant que je ne pourrai me sauver de ses griffes.J'avais soudainement réalisé que ma gauche était libre, la chance me souriait enfin.Mais finalement la malchance finit par me rattrapper: je n'étais pas gauchère, je finit par admettre que j'avais perdu, mais j'avais tout de même remué cette main libre mais inutil.Elle finit par détacher un bouton de son col et un nouveau choc m'abassourdi: son torse était cicatrisé...(par un long croix)
      –Tu as peur n'est-ce pas?(je n'avais pas compris le sens de sa question, j'avais peur de son torse cicatrisé ou ses menaces? En tout cas la réponce est clair, je craignai les deux)On fait moins le malin, quand on est emprisonné, hein?Alors si tu ne veux pas avoir de problème, sois une gentillt fille et sors de ta chambre, d'accord?
      Je n'avais pas répondu immédiatement, mais il avait raison je ne pouvais être plus maline que lui.J'avais chaud, j'étais rouge jusqu'aux oreilles, mes lèvres ne pouvait prononcé un mot, ma main droite ne pouvait articulé un doigt, ma main gauche ne pouvait plus se décrocher de son col, et poussée à bout, j'avais répondu:
      –D'accord...mais à une seule condition...

    ************************                                   Fin du douzième chapitre

     

    Chapitre 13: L'Orchidée s'emporte
     
    "Mais à une seule condition..."   Cette phrase persécutait dans les pensée de Ryû.  Ran finit par descendre de sa chambre à pas trainant, sa mine était tout autant plus mauvaise.Elle marcha jusqu'à la salle de séjour.  –Ran, tu t'es enfin ressaisit, s'exclama Rei en tenant Ran dans ses bras.  Ran ne dit pas un mot et regarda Rei dans ses yeux.Ryû finit par descendre des escalier, son regard croisa celui de Ran, ils échangèrent un regard peu commun, Ran finit par s'en lasser et détourna le regard vivement. Ryû soupira.  –On s'en va, Michael, ordonna Ryû à son majordome.  –Yes, my lord, répondit celui-ci.  Les deux jeunes hommes s'en allèrent, Josh avait acquiesait un sourire, pour remerciement, Ryû avait jeté un simple coup d'oeil, qu'il disparu de la demeure des Tsukihana.   Un beau matin, une limousine se gara devant le lycée Eitoku, long et noir flambant, la limousine n'appartenait à personne du lycée, ni aux lycéens, ni aux personne agée de l'établissement, mais peut-être à un nouveau élève.Un jeune homme sortit du véhicule à la porte passager.Ce dernier alla ouvrir la porte arrière, un jeune homme d'environ 16 ans sortit du véhicule, il n'avait pas l'air heureux, plutôt maussade. Son majordome l'accompagna dans l'enceinte de l'établissement en tant que guide.
        –Ran, tu te sens mieux?s'exclama Myû au chevet de la porte de sa classe.  Ran répondit par un marmonnement, presque inentendable.  –Allons nous installer, suggera son amie.  Myû n'avait rien fait, mais Ran n'était pas à l'aise à ses côté, elle s'en voulait, pour une raison dont elle ignorait.  Avant qu'elle ait eu le temps de s'assoir, on l'interpella.  –Quoi encore? agressa Ran.  Son interlocuteur fut surpris, mais dit se qu'il avait à dire.  –Le proviseur te demande.  –Mais que me veut-il? Qu'ai-je fait? Je n'ai rien demandé, moi!  Tous les regards se tournèrent vers Ran, l'étonnement s'y lisait.  –Enfin Ran, calme-toi, je vais t'accompagné, rassura une voix.  Les regards se tournèrent à présent vers la porte, Rei s'y trouvait.Les filles s'en approchèrent davantage.  –Mais que me veut le proviseur? Je n'ai rien fait de mal, ni quoi que se soit d'autre! Pourquoi est-ce que vous ne voulait pas me laisser en paix?!De puis que j'ai été inscrite ici, je n'ai put suivre aucun cours!Vous voulez me priver d'étude ou quoi?  –Mais non, ce n'est pas ce que nous voulons, je t'explirai en chemin, aller viens, insista Rei encerclé par les filles de la classe.  –Bon, bah, on se retrouvera plus tard, Ran,  dit Miya.  Ran soupira bruyament et suivit Rei, celui-ci le saisit par la main et s'en allèrent en courant.  –Ben dit donc, elle est d'un aggressivité, observa Miya.  Myû acquiesa silencieusement et Kiyo soupira, encore une fois elle se faisait remarqué et inquiétait son entourage. ***  –Pardon? Vous dites que je ne suis pas dans la classe que je me trouvais?  –C'est exactement cela, dit le proviseur en articulant le deuxième mot.  –Ah oui? Et puis-je connaitre la raison?insista Ran, aux bord des nerfs.   Le proviseur ne répondit pas tout de suite, il prit un moment pour réfléchir et une fois que c'était fait il releva sa tête, les regarda dans les yeux et dit:  –Parce que j'en ai décidé ainsi.  La colère de Ran se fit plus visible, elle sentait qu'elle allait pété un cable et cela ne va pas tarder à se produire.Rei essaya de calmer sa soeur.  –Calme-toi Ran.Ce n'est qu'un changement de classe.  –Ben, justement, pourquoi pas me laisser dans cette classe?  –Hé bien, comme vous pouvez le constater, j'ai ici, dans mes mains, des dossier concernant votre niveau et je viens de vérifier que votre mentalité est très faible(première flèche), d'ailleur c'est un peu de la faute de votre ancienneétablissement le niveau n'est pas assez élevé pour comparé à la notre(second flèche) et nous sommes déjâ en fin d'année scolaire et comme votre inscription a été bien retardé, vous n'avez pu suivre aucun des cours, du coup vous êtes qualifier comme unemoin que rien(troisième et dernière flèche) et la classe que vous vous trouvez il y'a un instant était réservé pour le deuxième niveau.  Ran fut baisser de trois crans par le proviseur et ne trauvait rien pour rétorquer.Humilier de mentalité faible à moin que rien, tous le monde pouvait déprimer juste après, ce que fit Ran.  –Alors vous serez bien gentille de ne rien dire et faire ce qu'on vous demande, mademoiselle, dit le proviseur sur un ton chanteur (le chantage et non la chanson).   Ran et Rei sortirent de la salle du proviseur.Ran vida tous son esprit et respira un bon coup.  –Ah, c'est malin, je me suis laisser impressionné...  –Ne t'inquiète pas, je serai sûrement dans ta classe, dit avec un sourire.  "Bizarrement c'est toujours dans ces condition là, que je m'inquiète le plus..."songea Ran.  Soudain Rei se souvena de quelque chose et saisit un seconde fois la main de Ran et l'entraina quelque part.   –Mais Rei, attends, où est-ce que tu m'emmène?demanda Ran, sans être pour autant curieuse.  Rei ne répondit pas et continuait sa route.Arrivé à la destination, l'humeur de Ran devena renfrorgner.Et la seule chose qu'elle trouvait à dire était:"Je retourne en classe...", mais Rei n'était pas du genre à laisser tomber sa cible.  –Aller, ne fais pas la timide et viens.  "oui, mais c'est que à chaque fois que je viens ici que les problème commencent!"raisonnait Ran à sa manière.Car l'endroit en question n'était autre que la serre.  Rei finit par entraîner Ran à entrer à l'interieur de la serre de force.  L'entrée forcé par Rei, avait fait rougir Ran sous les regards des "F3".  –Salut Ran! J'ai une grande surprise pour toi! s'exclama Shin jovialement.  –Ah oui? Et quel est cette surprise? demanda Ran, sans réellement vouloir connaitre la réponce.  –Ben, en faite...ça te tente de passer des vacances d'été?  –Pardon...?fit Ran, ébahi.  –Nous, les "F4", nous avons décidé de passer nos vacances à la mer! 
    ********************                                Fin du treizième chapitre 

     


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