• Chapitre 14:Les vacances d'Eté de l'Orchidée La mer si vaste, le ciel si bleu, les oiseaux si blanches.Le vent souffle fort, mais aucun son ne se fit.Pas parce que le vent souffle si fort qu'il cache la conversation des autre, non...C'était juste que...il n'y avait pratiquement personne pour qu'une simple dialogue puisse s'entendre.  –Les sifflements des oiseaux...le bruissement des vagues...dire que chaque année, j'attendais patiement que cette saison arrive, mais à chaque fois on ne m'autorisait pas à venir ici... cette année j'ai la chance de venir ici, mais je n'ai aucune intention de rester une minute de plus...pourquoi?  –Je ne vois franchement pas l'interêt de marmoner des choses incompréhensible, c'est insensé, remarqua Ryû.  –Il est vrai que Ran est un peu bizarre, mais si tu veux mon avie, tu es mal placer pour critiquer qui que se soit, avoua Shin.  –Pardon?  –Toi qui reste si indifférent devant les autres, tu t'es montré bien indulgent en respectant le choix de quelqu'un d'autre..., observa Yuki.Ryû regarda tout à tour ses deux compagnons, sans répondre.Il soupira et passsa sa main dans sa chevelure chatain."D'accord...mais à une condition...", ce marché qu'il avait conclu avec ne cessait de tourner de boucle en boucle dans ses pensées... De son côté, Ran continuait de marmoner son charabie, dont elle seule pouvait pouvait se comprendre:  –Cette espace si grande et si agréable, mais pourtant si vide et déserte...pourquoi? Pourquoi est-ce qu'il n'y a personne? Pourquoi?! se répéta Ran.  –Tous simplement parce que Fujishima l'a réservé, intervena Kiyo en ayant marre du charabia de la jeune fille.  –Mais justement!C'est le problème! Pourquoi l'avoir réservé? s'emporta Ran.  –Mais parce qu'il avait moyens, tien! rétorqua Kiyo.  –Mais les autres ont également les moyens! Il y'a beaucoup de famille/groupe d'ami qui veulent passer leur vacances! Vous n'êtes pas les seuls! Après leur dur labeur, ils souhaiteraient juste avoir un peu de repos sous le soleil, rien de plus! Mais vous, vous ne pensez qu'à votre bonheur à vous! rouspété Ran.  –Mais pas du tou! se défendit Kiyo.  –Hé ho, on se calme! suggéra Myû en s'interposant entre les deux filles.  –Oui, Myû a raison, il ne faut pas se disputer comme cela, affirma Miya.  –Ah oui, ironisa Ran, et comment?Moi, je ne supporte pas ce genre d'ambiance!Je hais le vide! Un peu plus loin, les trois garçons observaient la scène, surprit.Ryû fut presque ébahi par la dispute des filles pour une simple réservation insensé, Yuki avait observé la moitié de la scène et fut vite lasser il détourna le regard et reparta sur ses inventions, quand Shin, il était déjâ sur le chemin vers les filles. –Ecoutes Ran, si le vide ne te plais pas, j'annule la réservation, mais la prochaine fois il faut le dire et ne pas se disputer pour si peu, d'accord?  –D'accord...***Les cris d'enthousiasme des enfants, les brouhaha abasourdissant des adultes ou adolescents, les vagues emportés pas le vent, ainsi que les nageurs qui faisaient des courses, la plages était enfin animé.Ran était assit dans son coin et regardait l'horizon de la mer, en entendant les joyeux petits cris des enfants, Ran souria...tristement. –Ca ne va pas, Ran, demanda Miya.Ran sursauta en arrière, surpris que Miya se trouvait soudainement devant elle sans qu'elle le remarque, ayant conscient que son comportement fut déplacé, Ran se resaisissa immédiatement en lui répondant:  –Bien sur que je vais bien, pourquoi cette question?  –Ben, tu avais le regard vide...tu es sur que ça va, demanda Miya, une second fois. Ran remarqua l'air inquiètude de Miya et essaya de lui rassuré -ce qui n'était pas simple car Miya était têtu.  –Je t'assure que je vais bien, je suis juste un tout petit peu fatigué.  –Ah bon, eh bien tu ferai mieux de rentrer à l'hotel, non? proposa son amie. Ran ne put refuser, Miya devenait de plus en plus insistant.Ran se leva en souriant et marcha vers l'hotel à contrecoeur, car elle n'aimait vraiment pas se faire remarquer.En allant vers l'hotel cinq étoiles, cela confirmerai qu'elle soit vraiment une gosse de riche.L'hotel était voyant et appartenait aux Sugisaki, autrement dit, se sont les parents de Kiyo qui tenait l'hotel, du coup ils avaient reçu un bon qui baissé le prix normal, qui n'était vraiment inpayable pour Ran. Arrivé devant la porte d'entrer de l'hotel, les portes en vitre opaque s'ouvrirent automatiquement, le rez-de-chaussé était grand, spacieux et luxueux, deux hotesse travaillaient à l'acceuil et sembler être occuper.Ran marcha jusqu'à devant l'acsenceur, une petite écran en bleu indiquait le vingtième étage -l'hotel se composait en trente et une étages, Ran soupira et marcha un peu plus au fond de l'hotel à la recherche d'une seconde ascenceur, une fois trouver, Ran leva la tête et tira une grimace, une affiche était collé sur la porte et disait que l'ascenceur ne fonctionnera pas pour un moment, cette fois-ci Ran soupira bruyament, portait-elle le malheur ou bien était-ce une simple coincidence? Ran retourna finalement au chevet de la première ascenceur et attendu.Comme si elle n'avait que ça à faire, certe elle n'avait rien pour s'occuper mais non plus pour distraire, au fil des minutes qui s'eccoulaient Ran commençait à écouter au conversation des autres, aucun ne lui interressait, jusqu'à ce que deux jeune et frêle jeune fille passèrent devant Ran en chuchotant.Ran ne put entendre que des bribes de leur paroles."Ce garçon, là...est trop mignon!"s'exclama la première."Celui qui était assit sur la fontaine? Oui, mais on dirait qu'il attend quelqu'un..."supposa l'autre en jetant un coup d'oeil par dessus l'épaule de son amie."Oui...c'est dommage.J'aurai volontier être sa partenaire"dit l'autre.Alors qu'elles s'éloignaient pas à pas, Ran pouvait encore entendre leur voix qui avaient commencer à disputer au loin.Ran commençait sérieusement à perdre patience et finit par se lever pour aller à l'endroit indiquer par les deux filles, une fois à la fameuse endroit, Ran regarda autour d'elle.Elle finit par apercevoir une silhouette de l'autre côté de la fontaine.Ne se posant même pas la question, Ran avança vers la silhouette.Elle aperçu des épaules carré, des cheveux d'un chatain obscur, qui étaient assez long (pour un garçon) et assez ondulé, ceci lui rappela quelqu'un.Une fois à ses côté, Ran lui tapota l'épaule, le garçon leva sa tête et fut un petit peu surpris, Ran souria, c'était Yuki.  –Dit, que fais-tu ici?Tu attends quelqu'un?questionnna Ran.Yuki ne répondit pas, et pour ne rien arranger il regarda autour de lui d'un air préoccupé.  –Tu veux peut-être qu'on aille discuter ailleur? Un endroit un peu plus calm-...Ran s'interrompu, mais que racontait-elle? L'endroit était déjâ assez calme! Ran commençait à avoir honte, quel avait-elle faillit faire.Soudain Ran remarqua que Yuki avait hoché la tête, mais vaguement.Ran écarquilla les yeux, Yuki trouvait que là où il se trouvait n'était pas calme?***Assit sur une chaise, les bras posé sur la table, Yuki ne semblait pas être fatigué tandi que Ran transpirait.  –Excuse-moi, de t'avoir fait monter quatre étages à pied, comme l'ascenceur était occuper... j'ai cru que tu étais préssé, alors...heu...désolée...  –Ce n'est rien...pas besoin d'en faire un drame... Ran finit par se calmer et s'assit sur une chaise en face de Yuki.Le silence s'installa.  –Kishimoto, tu n'es vraiment pas bavard...qu'est-ce qui t'empêche de parler librement?fit remaequer Ran.  –Je trouve cela inutil, quel interêt y'a-t-il de parler?  –Aucun, répondit Ran en toute honnêteté, mais tu sais tu ne vas pas en mourir non plus.Yuki ne répondit pas.  –Je sais que c'est bien de réfléchir avant d'agir, mais là tu exagère...Yuki baissa sa tête en guise de réponse, Ran sentit un étrange sentiment la jaillier en elle, c'était comme si elle sermonnait son fils, qui avait une bétise, sauf que là Ran était loin d'avoir un enfant et Yuki était loin d'avoir fait une bétise.Ran finit par abandonné, elle soupira et posa son coude sur la table, s'accouda son menton sur la paume de sa main accoudé.Pendant un millième de seconde, Ran avait des pensées en rapport avec Ryû.Prenant conscient, elle se redressa d'une bond de sa position et se réprimanda interieurement.Un peu plus tard elle se calma et repensa à Ryû, pas positivement, ça non, mais de ses cicatrices...  –Dis...heu...est-ce que...Kyûji a été maltraité...?Yuki écarquilla les yeux, de quoi parlait-elle?  –Qu'est-ce qui te fait dire ça?  –Ben...Ran se retint, elle avait faillit dévoiler quelque chose dont elle allait regretter.  –T-tu inventes beaucoup, dis-moi...Yuki fut éberluer, Ran était se débrouillait bien pour changer de sujet.Il n'insista pas plus au sujet de Ryû.  –Oui, mon père est un inventeur et j'ai l'intention de devenir comme lui, mais...je n'ai pas assez de talent...Silence.Ran en rester bouche bée, Yuki venait de faire une longue phrase!Etde plus en rapport de sa vie privée!Yuki avait les yeux grand ouvert, que lui arrivait-il? Il venait de raconter sa vie à une fille qu'il vient à peine de rencontrer et quelque chose dont il n'avait jamais oser de dire à qui que ce soit.Est-ce Ran qui lui faisait cette effet?  –Et qu'inventes-tu en ce moment?demanda Ran en esperant que Yuki soit davantage plus ouvert.  –Rien de spécial, s'empressa Yuki de répondre.Ran fut deçu, Yuki était redevenu comme avant.  –Mais dis, pourquoi restes-tu avec les autres si tu as déjâ un rêve?  –...Je ne sais pas...Peut-être que mon rêve est loin d'être facil à réaliser..., répondit Yuki en détournant le regard.  –Mais je ne vous comprends pas, vous avez chacun un différent caractère, de différent problèmes...et vous ne vous adresser que rarement la parole...  –Mais...nous...sommes habituées...il est vrai qu'on se parle pratiquement plus, car chacun de nous a eut un dur enfance en été seul...peut-être que nous avons pensé de devenir plus fort une fois être à nouveau réunit...  –Et pourtant vous ne profitez pas du tous de ces instants...même si vous croyez devenir plus fort une fois ensemble, vous restez toujours pareille...sans aucun changement, vous ne pourrez devenir plus fort...pourquoi n'essayez-vous pas d'enlever le poid que vous portez à vos épaules et être plus libre?Quel est le mal de montrer son vrai visage aux autres? Les paroles de Ran avait sincèrement toucher Yuki, il fut ému et ne sut pas quoi dire.Pourtant au fond lui, il aurait également voulu changer, mais ce genre de choses ne se fait pas du jour au lendemain...bien que Ran était convainquante, Yuki ne peut réussir à changer.  –Ran tu te sens mieux?  Myû se tenait près de la table où se trouvait Ran, elle était essouflé et avait un peu transpirer.Yuki se demander cela faisait combien de temps qu'elle se trouvait ici et avait-elle entendu toute leur conversation.  –Mieux.Qu'y a-t-il?  –Heu...tu veux nager?***  –Ben, je croyai qu'on devait nager...  –Eh bien, comme tu peux le constater, il y a eu un changement de dernière minute..., fit remarquer Kiyo.  –Bien, bien, sachant que vous êtes impatiente de savoir quel changement se trame derrière tous ça..., déclara Shin.Eh bien vous ne serez pas deçu! La natation fut reporter pour plus tard, mais à présent contentons-nous de faire une partie de chasse aux trésor!  Silence médusé.  –C'est bien gentil tous ça, mais comment allons-nous procédé?demanda Kiyo, déconcertée.  –C'est très simple, nous allons nous répartir en groupe de deux et le premier groupe qui aurait retrouver le fameux trésor, grâce à la fameuse carte, aura une fameuserécompense. Y'a-t-il des objection?  Un nouveaux silence s'installa.  –Très bien, il n'y a pas d'objection, alors continuons. Dave, ramène les matèriaux.Un homme vêtu de noir se mit à côté de Shin, dans ses bras se trouvait un carton sur un plateau en argent.  –Dans cette boite se trouve quatre pairs de feuille à couleur unique, expliqua Dave.Il vous suffit simplement de tirer chacun une feuille et le comparer avec les autres, une fois les équipes former la chasse peut commencer, alors bonne chance, ajouta-t-il avaec un sourire.  Ran tire une feuille orange et souria -ceci était sa couleur préféré, regardant les alentours elle remarqua que sa couleur correspondait parfaitement à celui de Yuki, décidément cette journée était la plus surprenante en déduit Ran.  Rei soupira, il venait de tirer une feuille de la même couleur que celui de Miya.Loin de vouloir dire qu'il détestait Miya, elle était innocente, mais il aurait préféré qu'il puis faire équipe avec Ran, pour qu'il tissait un lien fraternel encore plus solide.  Myû avait tiré une feuille de couleur sombre, et en cherchant cette même couleur elle tomba sur Ryû, cette fois-ci c'était son visage qui devenait sombre, Myû n'avait pas encore oublier le traumatisme qu'elle avait reçu de Ryû.Elle le craignait encore.  Ryû, qui avait remarqué la couleur que Myû avait tiré, conclut qu'il ne pourra pas s'amuser si sa partenaire ne pouvait en aucun cas participé  à la chasse.Il soupira et demanda à Shin de changer de pertenaire, celui-ci accepta.  Kiyo s'étonna, elle avait suivit la scène comme elle suivait les cours, Ryû avait demandé de changer d'équipe en voyant Myû pétrifié par la peur, il avait agit tel un gentleman.  Kiyo et Myû furent bouche bée.Pourquoi ce soudain changement de comportement? Toutes les deux savaient que Ryû était gentil, mais de savoir qu'il pouvait également se montré aussi cool, de plus en public.  Pas le temps de penser plus profondément, la chasse avait débuté et chaque équipe se mettaient en place. Les deux filles finirent par conclure une chose, tous cela avait un raport avec Ran.*****************************                         Fin du quatorzième chapitre

     

    Chapitre 15: La condition de l'Orchidée   

    Marchant silencieusement et de quelque dizaine de centimètre d'écart, l'équipe de Ran et Yuki était bien calme, peut-être trop calme...  –Dis..., finit par prononcer Yuki, vous en êtes où avec Rei?  –P-pourquoi cette question? balbutia Ran, génée.  –...Apparement il n'y a pas grand progrès.  –Mais que t'attendais-tu...?  –Rien de spécial.Mais vous vivez sous le même toit, non? Vous n'avez pas apprit à vous connaître? interrogea Yuki, indifférent.  –Pourquoi devons-nous le faire, pour quel raison? répondit Ran, par des questions.  Yuki ne répondit immédiatement, il réfléchit un moment en se penchant la tête, puis le releva, le regard poser sur celui de Ran, il ouvrit ses lèvres prêt à parler.Soudain Ran eut un mauvais préssentiment.  –Tous simplement parce que tu es sa soeu-..., avait commencé Yuki, sans pouvoir terminer sa phrase.   Ran respirait de manière incorrecte, trop irrégulier.Elle avait pressentit que Yuki allait prononcer les mots du genre:"soeur", "lier par le sang", "de la même famille"; ce qui était faux, du moins pour Ran, qui refusait d'admettre faire partit du rang des aristocrates.  Sans remarquer que Yuki l'observait, Ran entrecroisa ses doigts, roula ses yeux sur le côté et acquiesa un petit sourire, mais triste.  –Rei...il est gentil, dit Ran dans un murmure, il est toujours à mes côté quand je suis dans le pétrin, mais...d-dès fois il...est trop sympa et cela me laisse des sensations de culpabilité, commença-t-elle à balbutier, alors que je n'ai rien fait de mal, je n'ai rien demandé. C'est...une erreur, c'est sûrement ça.Il m'est impossible de croire que je fais partit de sa famille. Kyûji a peut-être raison, je ne suis rien qu'une simple fille.  –Ryû a tendanse à parler sans vraiment penser à ce qu'il dit.  Yuki ne regardait déjâ plus Ran, son regard se pointait droit devant lui, qu'il n'était autre que de simple arbre, enfoncer dans cette sombre forêt.Son regard était insouciant, mais une soudaine le submergea, et il ne put s'empêcher de s'exprimer de manière direct et indiscret.  –Mais si, au contraire, tu faisais vraiment partit de sa famille, que feras-tu?  Ran n'émit aucun son, elle se tut, elle aurait voulu disparaître à ce moment précis, pour à jamais être dans le silence et ne plus entendre aucun son.  –Pourquoi ne me réponds-tu pas?finit par demander Yuki après un long, très long silence.Que cherches-tu à fuir?  –Mais rien, rien du tous, répondit Ran à toute vitesse.  Ran baissa sa tête, elle aurait mieux de se taire, mais c'était trop compliquer de défier Yuki Kishimoto l'enigmatique, personne ne sait vraiment ce qu'il pense et personne ne sera capable de d'écrire ses émotions.  Une fois sous l'emprise sinistre de Yuki, Ran ne put s'empêcher de penser à fuir, elle regarda les arbres, aligné en zigzag.Même si elle pouvait s'enfuir, elle ne trouvera jamais la sortie, et même pas une heure écoulé, qu'elle regrettera son geste, de son comportement si puéril.Ran serra ses poings, si faible et si petites, Ran s'en voulait, elle ne se supportait plus d'être si faible, si inutil.  –Réponds-moi.  Ran sourcilla, recherchant une réponse correcte à la question de Yuki, mais peine perdu.Rien ne lui venait l'esprit, rien sauf la fuite, mais cela serait trop lâche, mais après tous ne l'était-elle pas déjâ une lâcheuse.Se creusant la tête à fond, elle finit par répondre au pif.   –J-je m'en irai, j'ignore où et pour quel raison, mais je ne resterai une minute de plus dans cette résidence silencieuse et étouffante! cracha Ran.  Une fois avoir dit ça, Ran écarquilla les yeux.Mon dieu, mais quel monstre je fais, songea-t-elle.Puisqu'elle même dit que la résidence des Tsukihana était silencieuse et étouffante, mais alors Rei avait du endurer cela encore plus désastreusement.Depuis le depuis le début elle n'avait penser qu'à elle, sans se préoccoper des autres et de leur sentiments.  –Vraiment? Eh bien, arrête de t'approcher de lui et disparait de notre vu, si ce que tu souhaite, dit Yuki rageusement.  Une bouffée de peur, de tristesse et de haine envahit Ran, elle éclata.  –Ben, tu sais quoi? Moi aussi, je voudrai cela! Mais si l'occasion se présentait, les poules auront déjâ des dents! Moi non plus, je n'ai pas souhaité être ici! Et aujourd'hui encore je me demande si c'est toujours un rêve! Mais non, c'en est pas une! J'aimerai tellement disparaître de là! Mais...je...je suis tellement lâche que je n'arrive même pas...!  Se posant doucement à terre, Ran porta sa main sur sa bouche, les larmes avaient coulé sans qu'elle le sache, mais tous ce qu'elle venait de dire était vrai, elle le pensait sincèrement, mais elle n'aurait penser qu'elle se confesserait à lui, ce garçon qui avait si détacher des autres.Ran ne reggretait en rien de ce qu'elle venait faire, car de toute façon Yuki ne va pas broncher grand-chose.  –Je n'ai jamais souhaiter cela, se répéta Ran. Cette vie, je ne l'ai jamais envisageait et je ne suis pas prête de la faire.Ce que je souhaite réellement c'est qu'on me rende ma vie avant de vous connaitre...je veux retourner auprès de ma famille...  La dernière qu'elle pronoça n'était pas sincère, sa famille, ceux qui l'ont héberger, ne le sont pas, mais elle voulait revoir Haru, cette seule personne pouvait la rendre le sourire qu'elle perdait, cette seule personne qui' était si proche d'elle, cette seule personne qui prenait soin d'elle et l'écoutait attentivement.Cette personne qui lui était si chère on le lui avait enlevé.  La main tremblante, Ran essaya tant bien que mal d'essuyer son visage innondé de larme, qui ne voulait cesser de couler.  Yuki observa les faits et gestes de la jeune fille agenouillait devant lui.Sa fragilité et sa faiblesse, lui rappelait quelqu'un, qu'il avait cherit, mais qui avait disparu du jour au lendemain, cette fille de 4 ans seulement lui était d'un grand soutien, il l'avait perdu, elle ainsi que ces beaux souvenir.Poussant un soupire dans le silence, il s'apporcha de Ran, et doucement il lui tapota l'épaule.  –Soit.Je t'ai comprit, alors cesse -je te prit- de pleurnicher.Car une fois en dehors de cette forêt, les autres vont surement s'imaginait des choses.  Les larmes de Ran cessèrent de couler, mais pas ses tremblements, bien qu'elle inspirait profondément pour s'ordoner de se calmer.  Yuki resta silencieux, puis il passa sa main sous un bras de la jeune fille et d'un coup sec, l'a souleva, avec facilité.   Ryû Kyûji marchait environ un mètre d'écart de Kiyo Sugisaki, celle-ci regarda le jeune homme en grimaçant, le trouvait-elle si repoussante?  Ryû regardait les alentours, à la recherche du fameux trésor.Quand à Kiyo, elle repensait à la scène avant le commencement de la chasse.Ryû s'était montré étonnement gentil, ou peut-être indulgent.  Ryû avait un caractère arrogant, mais il pouvait se montrer gentil s'il le souhaitait, mais il ne faisait jamais, du moins pas avant l'arrivé de Ran.Kiyo se comportait comme une mégère, à se mêlé des affaires des autres, et quand quelque chose ne lui plaisait pas elle le dit clairement à haute voix, en d'autre therme, leur caractère ne se collait pas du tous, mais ils avaient tout de même fait équipe, pour le meilleur ou pour le pire.  Marchant des kilomètres et des kilomètres, aucune trésor n'était en vu, Ryû s'impatienta, Kiyo également, le caractère de Ryû l'agaçait vraiment et pour ne rien arranger, l'idée que Ryû puisse être doux comme un agneaux n'arrêter pas de lui trotter la tête, elle finit par poser une question directe.  –Dis, Ryû, qu'est-ce que la nouvelle t'a fait?  Ryû se tourna vers Kiyo, mais ne la regardait pas en face, soudain il acquiesa un sourire narquoi.  –Peuh, si tu crois que je vais te répondre à une fille de ta catégorie, alors là tu te foires carrément, ga-mine!  "Grrmbl", grogna Kiyo, fortement. Ryû joua l'interressant et ignora le gromelement.Il tendit l'oreille, d'un geste théatrale.  –Tiens, tiens.Tu n'as pas entendu un grognement, on croierait affaire à un chien yakuza, non? dit-il, d'un plaisantin.  Cette fois-ci des signes de colère apparu sur le visage de la jeune fille, mais Ryû n'y prêta aucunement attention.Continuant de marcher, Kiyo essaya de contenir toute sa rage.  –Dis Ryû, pourquoi est-ce que tu te comportes ainsi? demanda Kiyo.  Ayant rattraper Ryû, elle le regarda sérieusement, mais pas celui-ci.  Ryû s'arrêta net (tous comme Kiyo) et regarda la jeune fille indifférement et soupira.  –Et toi alors? Tu as mangé quelque chose qu'il ne fallait pas et tu n'as pas réussit à le digére pour me parler ainsi?  –...Je ne te comprends, pourquoi es-tu si désagréable?  –Tu n'as pas à comprendre, ce ne sont pas tes affaires.Et puis personne a à me comprendre...  Kiyo resta un moment passible, Ryû finit par repartir fissa et Kiyo finit par demander avec une voix calme.  –Ryû, que s'est-il réellement passé avec Tsukihana?    Plus loin, deux autres équipe recherchaient le trésor.L'équipe de Rei et Miya cherchaient avec toute hâte pour en vite en finir.Aucun des deux lycéens ne parlaient, bien que Miya aurait voulu que Rei y fasse le premier pas.Mais Rei était trop soucieux, il avait perdu gout aux fille.S'étant résigné, Miya ne parla pas et ne prononça ne serait-ce un mot.   Quand à l'équipe de Shin et Myû, ils étaient très actif et couraient dans tous les sens (bien que ce soit Shin qui ait proposé l'activité).Shin était très sportif et prenait beaucoup d'avance par rapport à Myû.Celle-ci était à bout de souffle, elle ralentit et s'agenouilla.  –Tu crois que tu peux encore courir? demanda Shin en se penchant vers la jeune fille.  –A ton avie?! rétorqua Myû.  Shin courba ses lèvres, et soupira en saisissant son téléphone mobile de sa poche et appuya sur une touche.  –Allo, y a-t-il quelqu'un à l'appareil? demanda-t-il au téléphone.  –A qui téléphones-tu? demanda Myû, éssoufflé.  –A Dave (il eut un grésillement, qui signifiait qu'on décroché également son mobile).Dave?  –Oui, monsieur?  –Peux-tu venir à l'ouest de la forêt?  –Bien évidement, monsieur, veuillez patienter.  –Pourquoi le demandes-tu de venir?  –Parce qu'une certaine personne ne peut plus courir et a besoin d'aide (il range son téléphone dans sa poche).  –Mais ce n'est pas du jeux!  –La faute à qui?  Myû gloussa.  –Bon, on a plus qu'à patienter.  Un silence médusé s'installa. Myû continuait d'inspirer de marnière irrégulière.Et finit par rompre le silence en posant une question:  –...Fujishima-san, est-ce que vous savez ce qui s'est passé entre Kyûji-san et Ran?  –Tu sais, dit Shin en souriant amicalement, leur problème à ces deux-là sont bien le cadet de mes soucis, même si je n'en sais pas grand chose.  –En gros, vous ignorez.  –Non, ce n'est pas cela.  –...Vous ne trouvez pas que vous aurez mieux fait de ne rien dire?  –Tu as sûrement raison, mais...je déteste les mensonges...  Myû voulu rajouter autre chose, mais une voix l'en empêcha.  –Veuillez m'excuser pour mon retard, lady and gentleman.  –Waaah, fit Myû, ne pouvant s'en empêcher de pousser ce cri strident.  –Ho, je suis navré, je vous ai éffrayé mademoiselle?  –D-d'ou tu viens? Co-comment se fait-il que je ne t'ai pas entendu venir? T-t'es un ninja ou quoi, bredouilla Myû, étonné.  Dave regarda Myû, incomprit.Shin toussa et Dave comprit pour ce qui est de sa tache.Il se pencha en avant, jusqu'au niveau de Myû (c'est qu'elle est assez petite) et la souleva en la portant dans ses bras.  –Pars devant, je te rejoins.  –Bien, obéit Dave, en ayant Myû dans ses bras.  Sur ce, Dave s'en alla s'enfoncer dans les profondeur de la forêt qui finissaient par donné une sortie.Shin regarda autour de lui et acquiesa un sourire mélanciloque, avant de s'enfonser également dans la forêt, tout en suivant les pas de son majordome.   Ryû finit par poser son regard sur celui de Kiyo, qui était déjâ sur lui.Il regarda tout en essayant de fuire.Il compara le visage dur de Kiyo avec celle d'une jeune fille de petite âge, dessiner avec un joli sourire.Il finit par ceder.  –Ce qui s'est réellement passé, c'est que...  Il s'arrêta en réfléchissant à la suite de ce qu'il allait dire.  –...Je lui ai promit de ne plus m'approcher d'elle...  Kiyo se tut, ou plutôt, était-elle ébahi.Se ressaisissant, elle acquiesa un sourire forcer.  –Tu  as changer, Ryû...avant tu ne montrer en rien de tes sentiments, mais à présent qu'une fille est apparu, tu changes du tous au tous, allant même à respecté le marché qu'une fille ordinaire t'a imposé, je t'avoue que cela me surprend...énormément.... ***********************************                                                    Fin du quinzième chapitre

     

    Chapitre 16:L'Orchidée se perd
     
      –Alors, des nouvelles? demanda Shin à toute hâte.
      –Non, rien de mon côté, monsieur, répondit un homme vêtu de noir (en pleine été, il doit avoir chaud...), avec des lunettes en verre teintée de noir et un micro-oreillette accroché aux oreille.Non plus au secteur Ouest, ajouta-t-il.
      –Mais c'est pas vrai, ça, déclara Shin, presque épuisé. Où diable sont-ils passé?!
      La chasse aux trésor fut terminée il y'avait déjâ fort longtemps, mais l'équipa Ran-Yuki n'était toujours pas en vu.
      Le groupe de jeune aristo était à présent abrité sous une sorte de chalet près de la forêt, le paysage était très magnifique vu de l'intétieur, mais malheureusement le moment était mal choisie pour parler de paysage ou quoi que ce soit d'autre.
      Le retard des deux lycéens avait commencé à faire paniqué la moitié du groupe.Bien évidement c'etait Rei qui avait causé un tel chamboulement pour seulement quelque minute de retard...mais que dis-je? Réstification: les deux lycéens avaient...presque une heure de retard. Mais bizzarement Ryû Kyûji et Kiyo Sugisaki ne s'étaient pas du tous mêler de l'embrouille, non je dirai plutôt qu'ils s'en foutaient carrément.
      Rei n'avait pas cessé de prier ou marmoner des incantation (bien que ce fut inutil).
      Ryû finit par en avoir marre.Il soupira bruyamment et se releva d'un coup de son emplacement -dont une chaise en paille- et s'approcha à pas vif de Rei.
      –Eh, c'est pas bientôt finit ces incantations tordu?! déclara Ryû, d'un air méprisable. Tu commences sérieusement à me casser les oreilles, la femmelette.
      –Ne commences même pas à me chercher, je te prit! Et puis ne me parle pas comme ci tu pouvais tous comprendre, tu n'as ni frère, ni soeur, alors ne m'adresses pas l'air de rien, rétorqua Rei les poings serré.
      –De quoi? Et puis de toute façon, Yuki l'accompagne. Je ne vois franchement pas ce que tu as à craindre.
      –Mais justement! Yuki est un mâle, et les mecs qui sont seul avec une fille, ils...
      –Alors là, je t'arrête tous de suite, coupa Ryû énervé. Tu insinues que Yuki serait capable de tel acte, alors qu'il ne pense à rien a d'autre que ces machines. Et tu oses croire qu'il songerait au rapport humain? C'est ainsi que tu considères tes amis?
      –Je n'en sais peut-être pas plus que toi, mais tu sais très bien que les gens changent avec le temps, se défendit Rei.
      –Ha, mais c'est très bien dit ça, mais tu crois qu'on peut changer d'une minute à l'autre?
      –Non, on ne peut pas, mais qu'est-ce qui te fait dire que ce n'est pas le cas pour lui? Si tu arrives à me répondre, c'est que tu est télépath!
      –Je ne sui pas télépath, mais...
      –...Tu n'as plus rien à ajouter?...hé bien, c'est également mon cas...mais...je ne peux tolérer qu'on touche à Ran d'une certaine qui semble la manière qui la force.
      –Tu ne crois pas si bien dire, mais vous n'êtes pas si proche que toi, tu le sens, riposta Ryû calmement.
      Rei ne broncha pas, il ne pouvait pas, car ce que Ryû venait de dire était la pire vérité qu'il avait put entendre.Il avait essayé à plusieur reprise de faire quelque chose qui pourrait la plaire, mais Ran l'esquivait à chaque fois.
      Ryû finit par retourner à sa place et s'assit à toute hâte.Il posa son coude sur l'accoudoir de sa chaise et réfléchit, un long moment.
      D'un autre coin du chalet se trouvait l'autre moitié du groupe (Rei voulait s'isoler et se plaça seul dans son propre coin à lui), ayant observer du début à la fin du dialogue qui semblait partir sur une dispute.
      –C'est du n'importe quoi, observa Kiyo méprisement.Une dispute de gamin...
      –Tsukihana dit que les garçons ont des pensées obsènes -ce qui n'est peut-être pas faux, mais ils ont également leur propre raisonnement, défendit Miya.
      –Si seulement Ran ne s'était pas perdu nous en serions peut-être pas à là...
      Shin opina et envoya d'autre hommes à leur recherches, pendant un instant un hommes était revenu avec une feuille dans les mains, déchiré en une moitié.Shin put distinguer une trait fait par un stylo à encre noir, pour représenter un itinéraire, il en déduit donc que c'était une carte. De qui? Pourquoi se trouvait-il ici? Et pourquoi déchiré? Tant de question trottait dans la tête de Shin qui était au bord du gouffre, ne pouvant supporter davantage de pression.
      Un peu plus tard, une averse se produit et l'angoisse ainsi que l'inquiétude du groupe s'amplifièrent au sujet des deux lycéens paumé.

    ** *  Trois heures furent écoulé et toujours aucune nouvelle.  Le groupe avait finalement décidé de s'abriter en dehors du chalet, mais non plus à l'air libre, le chalet était composé de deux partit, le groupe avait prit l'initiative de s'abriter sous la petite partit du chalet et regardait les environs.  Soudain une sombre silhouette apparu dans le forêt déserte, personne ne l'avait encore remarquer, personne sauf Shin, qui fut attiré par un regard curieux aux alentours.Celui-ci avait également remarquer un drôle de détail, la silhoutte était grand, ou plutôt mesurait assez haut -dans les environs de deux mètres.Mais en plissant les yeux il conclut un tout autre deduction: la silhouette n'était pas seule.Il ne l'avait jamais était puisqu'en réalité l'un était sur le dos de l'autre.  La première silhouette était dans une mauvaise posture, trempé par la pluie, salit de toute part et tres mal couvert.Quand à la second était encore beaucoup plus pire, également trempé par la pluie, bléssé à la cheville et aux bras, en gros salement amoché, mais un peu plus couvert que le premier.  Encore quelque dizaine de mètre d'écart et la silhouette en deux pouvait se rapprochait du groupe.Mais prise de vertige, la silhouette commençait à vaciller.Et sans perdre une minute de plus Shin s'écria:  –Rattrapez-les.  L'ordre fut assez clair, l'un des quatre homme s'élança dans un sprint et rattrapa la silhouette en pleine chute.  Le groupe fit volt-face et fut également attirer par l'aspect étrange.  –Eh mais...c'est..., avait commencé Kiyo.  Elle ne put achever sa phrase qu'elle reçut un coup de vent.Dave arrivait en courant encore plus vite que la lumière.Il s'arrêta devant le garde qui tenait les deux intrus, du moins c'était ce qu'il avait conclu.Après réflexion, il souleva le corps endormie de celui qui était sur le dos de l'autre et l'emmena ailleur, l'homme qui avait rattrapé les deux corps transporta celui qui était le plus épuisé sur son dos.Et en route vers l'hotel où le groupe résidait.** *  Je battis lentement mes paupières pour mieux m'habituer à la lumière du jours -bien que ce n'était pas simple- j'ai réussit à les ouvrir entièrement, une fois cela fait, j'avais voulu bouger un peu tous mes membres.Mais mission possible pour moi, car j'avais une forte migraine et j'étais un peu cloitrée sur le lit.En parlant du lit, elle était vraiment luxueuse, je m'inclina dans toutes les coins que je pouvais et je fus stupéfait, j'étais dans une des chambre de l'hotel, et ce sans que je prenne compte, on était à mon chevet pendant tous le temps -environ une journée entière- que je m'assoupissais.  Une jolie chevelure blonde retombait sur la couverture, ainsi qu'aux sol, la jeune demoiselle endormie à mon chevet resemblait à une poupée française.Je fus vite ému, par sa présence, mais égalment par sa beauté, Myû était mature et toujours calme -même si des fois ça m'agace un peu- elle était jolie et intelligente -ou plutôt perspicace- et pourtant c'était ma première amie, c'était elle qui était venu vers moi, alors que j'étais reniée par tous les autres du lycée -enfin si je ne m'abuse pas- c'était bien la seule à m'accepter telle que j'étais.  Ses mèches de devant lui cachet ses paupières clos, j'avais trouver cela désagréable et je ne put m'empêcher de les lui mettre sur le côté tous doucement.En voulant repousser la dernière mèche, je l'avais également éfleurer, et elle poussa un gémissement, signe qu'elle n'allait pas tarder à se réveiller.Elle se réveilla, en baillant elle me salua gaiement, cela me donna chaud au coeur, franchement cette fille était parfaite, elle avait tous d'une lady, qui contrairement à moi faisais trop garçonne.  Myû se frotta les yeux et me souria.Je lui rendit le sourire en lui posant une question.  –Bien dormi, belle au bois dormant?  –Tu veux rire, j'ai des combattures partout, s'enquit-elle.  Pas étonnant avec cette position, mais en même temps c'était de ma faute alors je ferai mieux de ne rien ajouter.  –Et puis c'est toi la belle aux bois dormant, tu as dormit pendant trois jours entier, ajouta-t-elle.  J'ai écarquillé mes yeux. Trois jours?!Mais c'es beaucoup plus que la moyen, ça! Comment ai-je put faire pour me nourir?!  Soudain le silence regna, j'ai trouvait cela horriblement pesant et voulu m'assoir sur le lit, sauf que problème: j'avais toujours la migraine et je crois que cela ne partira pas de si vite. Ayant surement remarquer mon geste, Myû m'aida à me relever et m'assoir correctement -ben, c'est génial, encore une fois c'était elle qui m'aidait- et elle me souria toujours aussi charmante, celle-la.  Puis l'instant d'après, on frappa à la porte et Myû autorisa à la personne d'entrer.La porte s'ouvrit et une employé -surement- entra dans la pièce avec un plateau dans les mains.Le sourire accrochait à ses lèvres, j'avais l'impression qu'elle se forçait, je n'avais pas pris grand attention à ce sujet et mon regard ne tarda pas à se poser sur le plateau qu'elle avait dans les mains, un récipient métallique en éclat d'or rayonna sous la lumière et deux serviettes en laine, ai-je put constater.  Nous saluant brièvement, l'employé nous tendit le plateau et prononça ces brève mots:"Tenez de quoi vous raffraichir"...Ben, dis donc, c'est qu'elle n'était pas commode la demoiselle, elle devait se dire:"Dire que je dois servir des clients plus petit que moi, j'aurai mieux fait de ne pas prendre ce travail, franchement les gosses de riche ça me gave"....Bref, un truc à peu dans le genre.Bon, il était vrai qu'il y'avait de se plaindre, mais c'était inutil de nous toiser ainsi du regard...  Pour ne pas l'agacer -ainsi que nous agacer nous-même- Myû et moi avions prit la serviette en laine et la trempa dans le récipient métallique, qui bouillonnait d'eau pure et chaude, et pour la finir sur ma peau sec et pale.*  Deux porte plus loin se trouvait être la chambre de Yuki.Celui-ci était en train de se changer, mais il était encore torse nu, alors qu'il s'apprêtait à enfiler sa chemisier blanche, la porte s'ouvrit en flagrant délit, Shin s'exclama:  –Alors, comment ça va mon vieux?  Silence.Shin regarda son acolyte et souria bêtement, son acolyte, lui, était aux bord du gouffre, déjâ que sa fièvre n'avait pas réellement baisser, il avait fallu qu'on lui refiler l'idiot de service.Des signes de colère se firent visible sur le beau visage de Yuki, celui-ci vociféra:  –Mais ferme la porte!  –Oups, désolé..., s'excua -t-il en rigolant, ce qui énerva davantage Yuki.  Yuki soupira bruyament, il enfila sa chemisier et s'apprêta à attaquer à sa cravate que Shin s'élança.  –Eh, tu as remarquer que...la demoiselle ne pèse pas beaucoup, hein?  Une tension de colère meurtrière envahit entièrement Yuki et se propagea vivement vers Shin.  –Dégage, ordonna-t-il.  –Okay, okay, soyons sérieux.Qu'as-tu fais.  La question était vague, très vague pour Yuki puisse comprendre le sens, mais il ne voulait pas perdre son temps avec ce genre d'ânerie et répondu un mot au hasard:  –Chiant.  Shin écarquilla les yeux, et toussa, il avait avalé sa salive de travers.  –Bon, très bien...expliques-moi en détail, demanda Shin en ayant un regard sérieux.  Yuki regarda son acolyte et grimaça, comment a-t-il put prendre cela aux sérieux?! se demanda-t-il intérieurement.Et dans une autre chambre, un peu plus éloigné de celui de Yuki, un jeune homme d'environ leur âge, avait un casque sur les oreilles et avait écouter pratiquement la moitié de la conversation.Et n'était pas prêt d'en finir ici. ********************************                                                   Fin du seizième Chapitre

     

     Chapitre 17: L'Orchidée rencontre une Déesse...pas aimable  

     
      –Bon, aller, ne te fais pas prier! Et racontes!
      –Ecoutes-moi bien, je n'ai aucune envie de me faire prier -et surtout par toi- mais j'ai non plus envis de tout raconter au premier venu! répondit Yuki, d'un ton hargneux.
      –Eh, c'est méchant...je ne suis pas un "premier venu", comme tu le dit, mais ton ami qui te connait mieux que personne, répliqua Shin.
      –Vraiment? démentit Yuki. Pourtant je n'ai aucune souvenir te concernant, sauf la foi ou tu m'avais piqué mon..., se coupa-t-il.Non, laisse tomber, reprit-il, illico.
      –Ah mais oui! Ce jour-là tu avai-..., commença Shin.
      –La feeerme, ordonna Yuki d'un air haineux et meurtrière.Si tu émets encore un mot sur ce sujet, je te jure que tu vas regretter d'être n.......
      –...Dès fois tu es vraiment effrayant, mais d'autre fois tu peux te montrer très compréhensif, c'est rassurant...
      –Ah oui, et puis-je savoir ce qui est si rassurant?
      –Ben, le fait que tu n'es pas quelqu'un qui oubli facilement et au fait que tu peux m'expliquer tous simplement ce qui s'est passé dans la forêt, il y'a trois jours, insista Shin.
      Yuki grimaça et détourna le regard de son ami.
      –Hem, toussa-il, en faite je ne me sens pas trop bien, alors peux-tu,s'il te plait, me laisser reposer? mentit Yuki, avec un air fatigué.
      La comédie de celui-ci semblait si réelle, qu'on pouvait tomber dans le panneau. Mais Shin n'était pas convaincu, il voulait insister, mais une soudaine vision le traversa l'esprit, et il se sentit bizzarement fragil. Ne voulant pas que Yuki soit davantage mal à l'aise, Shin sorta de sa chambre sans dire un mot de plus, il se sentait également mal.
      Yuki le regarda partir, alors que Shin était sur le point de saisit le poigné de la porte, Yuki lui adressa quelque mot:
      –...Oubli ce que j'ai dit...ne te creuse pas la tête pour si peu, je ne le pensais pas...
      Shin tourna sa tête de quarante-cinq degrés, assez pour que Yuki puisse le voir de profil, et il acquiesa un sourire...mélancolique, nostalgique.
      –Si toi, tu arrêtais aussi de fuir, ce serait mieux, tu ne trouves pas?
      Shin quitta la pièce, Yuki resta seul, encore...et toujours
      Yuki se réallongea sur le lit et ferma ses paupières.Il les réouvrit qu'une fois avoir soupirer longuement.Et il se rémémora de toute la scène où il s'était perdu dans la forêt en compagnie de Ran.
      Ran fut blesser à la cheville et aux bras, la carte s'envola nul part et par dessus tous, Yuki avait l'impression que toutes les fautes ont été rejeté sur lui.

    *
      Après avoir pleurer un bon coup, Yuki aida la jeune fille à se relever et ils reprirent leur chemin bredouille.Alors qu'ils marchait aux fin fond de la forêt dense, ils se sont mit en désaccord et pour prouvé l'un à l'autre qu'ils ont soi-même raison, ils décidèrent de vérifier à la carte.Seul problème: la carte n'était plus dans la main de Ran..., celle-ci l'avait laisser à l'endroit où elle s'était laisser tomber pour pleurer.Les deux jeune gens restèrent planter sur place, aucun mot, aucun geste ne se fit.
      Sur le chemin de demi-tour, le temps joua contre eux.Une averse s'abbatit. Le sol commençait à se mouiller et Ran glissa.
      Tremper jusqu'aux os, Yuki avait tout de même de la force de portait Ran sur son dos.Il marchait lentement (normal, non?), car primo: pour ne pas avoir un seconde accident; secondo: il frissonait sous la pluie froide et avec des vêtements mouillé ce n'était pas léger et tertio: il n'avait pas la carte sous les yeux...
      Passant devant nombreuse arbre, Yuki finit par avoir remarquer un toit. De quoi? Eh bien, d'un abris, il protéger de la pluie, mais pas du froid. Yuki s'y abrita, c'était mieux que rien. Il déposa Ran sur un banc fait de bois, qui fut mouillé. Et s'assit en face de celle-ci.
      La pluie s'était calmée, mais pas la respiration de Ran.Cette dernière respirait fortement et avait l'air de beaucoup souffrir.Trouvant cela, anormal, Yuki s'approcha de Ran et lui toucha le front, Ran était brulante de fièvre.
      Yuki soupira. Manquait plus que ça, pensa-t-il.Il resta un moment muet, puis une soudaine pensée lui traversa l'esprit.Il posa son regard sur Ran, d'un air preque dégouté, mais plus étonné.
      Soupirant très bruyament, Yuki s'assit à coté de la jeune fille fièvreuse.Il posa ses deux mains sur les deux épaules de Ran et les attira contre lui.
      La tête de Ran était à présent contre le torse de Yuki.Ce dernier ferma ses paupières et passa ses mains sous le visage de la jeune fille à la recherche d'une fermeture éclair.Il galéra pour avoir enfin attraper l'objet en metal et l'a baissa vivement en ayant les yeux toujours clos.
      Et tous doucement il enleva la veste humide de Ran du corps de celle-ci.La veste prit un temps fou à se séparer du corps avec toute le liquide que le corps essayait de repousser.Yuki déposa la veste humide sur le banc d'en face et attrapa la sienne qui était presque sèche.
      Alors qu'il s'apprêter à l'enfiler, il découvrit quelque chose qu'il n'aurait pas dù (?).La marque de trois virgule avait pétrifié le sang de Yuki.

    Il se ressaisissa qu'une fois que Ran ait gémit, pour se plaindre du froid.Yuki s'empressa d'enrouler la veste autour du corps de la jeune fille et l'adossa sur le dossier en bois humide.
    Une fois le travail fait, le jeune homme s'écarta de la jeune fille et alla ramasser la veste humide pour le déposer sur le dossier du banc -qui opposait celui de Ran- en attendant que celui-ci se sèche.
      Pendant que la pluie cessait, Yuki avait rémémorisé des faits passé, qu'il aurait tant voulu oublié. Mais ceux-ci ne voulaient cesser de tourner en boucle dans ses pensées sans pouvoir le laisser prendre de répit.
      Deux heures se sont écoulées, Yuki se décida enfin à réagir, il porta Ran sur son dos (l'ayant recouvert avec deux veste semi-humide) et se remit en route pour sortir de cette dense forêt.

    *  Yuki inspira profondément et se leva de son lit luxueux avec des mouvements lent. Il sortit de sa chambre et referma la porte lentement.  En se retournant en quart de tour, il remarqua Rei passait à ses cotés.Et sans pouvoir se retenir il l'interpela.  –Rei...congratulation...  –Gné? gémit Rei, De quoi tu parles?  Yuki ne répondit pas et marcha du sens inverse de Rei, celui l'interpela à son tour.  –Eh attends! Réponds! C'est malpolis de faire glander quelqu'un après lui avoir dit des choses incompréhensible! houspilla Rei.   Rei poursuivit Yuki, qui lui s'apprêtait à s'enfuir.

     

    ***  En dehors de l'hotel, le reste du groupe d'aristocrate se baladait sagement sur le sable. Etant regrouper en équipe de deux, Ran marchait aux côté de Shin.  –Dis, Shin...  –Oui, mademoiselle Tsukihana? répondit celui-ci.  –Arrêtes, c'est pas drôle.  –Excuse-moi, je n'ai pas put m'empêcher.Tu était vraiment mignonne endormit -pendant trois jours en plus.  –Oui, bon, il n'y a franchement pas de quoi en rire....Bref, ce n'était pas ce que je voulais aborder. Alors écoutes-moi sérieusement sans me couper, d'accord?  –Oui, oui..., acquiesa-t-il.  –Eh bien, en faite...., commença Ran.  Alors que celle-ci s'apprêter à faire une révélation, elle fut déconcentrée par quelque chose, non....plutot quelqu'un....Ryu, qui parlait avec une fille, blonde qui plus est.  –Mais qui est-ce?  –Qui ça? demanda Shin, en suivant le regard de Ran.  Son regard se posa également sur le "couple".  –Ho, tu parles de Kanaé-chan?  –Qui?  –Kanaé Vinyard, la fiancée de Ryu.  –La....la quoi?! bafouilla Ran, ahuri.  –Viens, on va faire les présentations, déclara Shin.  –N-n-non, non, non...., bredouilla Ran.J'ai aucune envie de faire connaissance avec les entourages de Kyûji.  –Ne t'inquiètes pas, elle est très sympas, rassura Shin, le sourire jusqu'aux oreilles.Enfin je crois..., rajouta-t-il dans un souffle.  "Eh, je t'ai entendu !",pensa Ran, intérieurement.  Shin traina Ran de force devant la table -que Ryu et la blonde se sont installer, abrité sous un parasol. Plus ils s'approchaient et plus Ran suait.  –Bonjour, mademoiselle Vinyard, que nous vaut votre présence ici?  –Rien du tous...je suis ici, simplement pour avoir des nouvelles de Ryu, répondit la demoiselle, avec un sourire appétissant.  Celle-ci remarqua la présence de Ran et la salua poliment et avec dignité. Ran comprit qu'on s'adressait à elle et s'inclina maladroiteusement.  Ryu ne regardait que sa 'fiancée', avec un visage dur comme du fer. Les faits et gestes de sa futur fiancé le préoccupé énormément et surtout quand celle-ci était devant une demoiselle. Dès qu'il remarqua quelque chose,aussitot il réagit.  –Kanaé, ce n'est pas bon pour ta santé de rester trop longtemps sous le soleil, rentre chez toi, ordonna-t-il.  –...D'accord, mais raccompagne-moi, s'il te plait, répondit celle-ci avec un large sourire.  Ryu ne répondit pas et se releva de sa place, pour s'approcher celle de sa partenaire. En passant, il avait fait signe à Shin de se décaler, lui ainsi que Ran. Celui-ci obtempera.  Se releva doucement, Kanaé prenait appuie sur le bras de Ryu et s'accrochait excessivement de celui-ci, ce qui n'échappa à Ran.  Le couple s'en alla et Ran les suivirent du regard, très attachement. ***  Quel fille adorable. Je n'aurai jamais cru que ce genre là existait encore aujourd'hui. Douce et tendre, on aurait put la prendre pour une déesse. Sa voix douce était comme une mélodie qu'on ne pouvait s'en lasser. Ses traits fins ressemblait à ceux d'un ange. Et par dessus tous, elle était bien élevé -comparé à moi...  Mais un point m'avait le plus interroger, elle était pas japonaise, ou pas asiatique, surtout avec le nom qu'elle avait, bien qu'elle avait un prénom japonais. C'était surement une métisse, avec ses cheveux blond ondulé et ses prunelle d'un noisette éclatant..  –Haa, c'est bien dommage qu'elle appartient à Ryu -il souhaite surement faire autre connaissance, elle aurait pu faire de nombreuse choses, si elle ne s'était pas procuré cette maladie...  –Quelle maladie? l'ai-je interroger.  –Problème aux poumons, à l'âge de ses 6 ans, elle s'est blesser aux niveaux du torse et d'après la radiographie une bronchite a éclater. Du coup, elle a du mal à respirer, cela ressemble un peu à l'asthme.  Ah, je vois, voila donc la raison pour que Ryu soit aussi tendre avec elle... ...hé mais, qu'est-ce qui me prend de tenir de tel propos?  –Hoo, et comment s'est-elle procuré cela?  –Bonne question, à la quelle on se le demande toujours....Mais il parait qu'il y'a un rapport avec Ryu.  –Kyuji? Qu'a-t-il fait?  Shin souria et ses lèvres s'approchèrent de mes oreilles. J'ai ressentit son souffle balader sur ma chair, qui transpirait presque. Il me chuchota des choses qui ne m'étonna pas profondément, car dans un sens je m'y suis douté...  Quel découverte...Je ne la savais pas si chiante. Non. En réalité cela frapper des yeux, l'instant où elle s'est raproché de Ryu et le moment où elle parlait nièsement. Mais je n'arrive pas à l'en vouloir, elle est tellement mignonne...  ...Mais attends voir...pourquoi est-ce que je devrai l'en vouloir....Je n'ai pas à me mêler de leur histoire...d'ailleur je ne suis même pas du même rang que le leur....  ...Et pourtant ça me préoccope vraiment...le moment ou elle s'accroche à lui, n'arrête pas de me trotter la tête.  Pourquoi?..... ***********************************                                                   Fin du dix-septième chapitre


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